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 Soir tranquille - Frédérika - [Suspendu]

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Anonymous
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Soir tranquille - Frédérika - [Suspendu] Vide
MessageSujet: Soir tranquille - Frédérika - [Suspendu]   Soir tranquille - Frédérika - [Suspendu] EmptyDim 13 Mar - 20:24

/Je suis vraiment nulle pour trouver des titres -_-/

Le club était maintenant fermé, les hôtes repartaient chez eux, s'installaient dans leur chambre du premier étage, délaissant ce lieu habituellement bruyant et plein de vie. J'attachai ma longue chevelure pourpre, me permettant d'y voir un peu plus clair, dans les deux sens du terme. Seule restais Frédérika, avec sa longue chevelure blanche, que j'avais autorisée, après maintes demandes, à rester plus longtemps que les autres. On aurait pu penser que c'était une cliente privilégiée, moi, je la considérais, tout comme les autres, comme une jeune femme en manque d'amour dans sa vie, venue chercher le réconfort. Le problème c'est qu'elle s'accrochait un peu trop à moi, à mon goût, et que si je l'avais seulement pu je serais bien retourné dans la solitude protectrice de ma petite chambre au premier. Mais il me fallait être quelque peu courageux, essayer de faire ce que je n'avais jamais fait naturellement, être sociable et lui parler. Au moins lui parler. Je me tournai ainsi vers le bar pour me servir un verre d'eau, en lui en servant à elle un deuxième, sans vraiment lui demander son avis, je le déposai sur le bar, en lui faisant un signe, lui indiquant qu'il était pour elle. Je bu quelque gorgée, me rafraichissant ainsi le corps et l'esprit, pour me préparer à cette nuit qui semblerait bien longue. Je lâchai un sourire, tout en essayant de ne pas le faire remarquer, ce qui aurait pu blesser la jeune femme. Je ne voulais pas lui montrer mon agacement, même si ma mine décontenancée devais le lui indiquer. Ce n'était pas que je ne l'appréciais pas, elle avait simplement trop l'habitude de me coller, et ce que je pouvais supporter en journée, je ne le pouvais pas forcément le soir, et surtout pas après une dure journée comme celle-là. Il fallait croire que le monde s'était ligué contre moi. Je ne voyais pas trop ce qu'elle pouvait voir en moi de plus que dans les autres, ni pourquoi elle s'évertuait à toujours vouloir rester à mes cotés, en toute circonstance, ce qui en faisait une cliente plutôt régulière. Les femmes étaient décidément incompréhensibles, et leurs besoins et logiques trop éloignés des miens. Frédérika ne faisait pas exception et bien que je pouvais l'apprécier, car quelque peu différente des autres, elle restait une femme, avec tout ce que cela implique. Elle était là de toute manière, je ne pouvais rien y changer, et je devais, tout du moins, essayer d'être le plus agréable possible. Même si je crois qu'elle ne demandais rien. Je m'assis à une table, bu une autre gorgée d'eau, comme pour me donner un semblant de courage.


- « Pourquoi voulais-tu à tout prix rester, tu as besoin de compagnie ? Peut-être que quelque chose ne va pas ? »

Mes questions sonnaient creux, vides de sens et surtout de sentiments et de profondeur. Elles ne traduisaient en rien mes véritables pensées, et il me semblait même que cela se voyait. J'avais envie d'être gentil, mais il fallait croire que cet attrait était trop incompatible avec mon caractère. Je n'étais pas un hôte très doué, pas à mon sens tout cas, mais on m'avait toujours considéré comme tel, comme si ma solitude et mon mystère attirait tant. Moi je croyais plus en cette beauté que m'avait donné la naissance, et les vrais sentiments féminins, bafoués au profit de leur attirance. Je ne sais trop si Frédérika était comme elle, je ne crois pas, elle ne voulais pas une place plus importante dans mon cœur elle y voulait simplement sa place et l'hypocrisie grandissante que je montrais à son égard ne reflétait pas la vraie place qu'elle y avait obtenue. Même si nous n'étions rien d'autre que deux jeunes gens profitant l'un de l'autre, je l'appréciais quelque peu. De son coté je ne savais pas trop quoi penser, le jeu qu'elle jouait me semblait celui d'une enfant en manque d'affection mais profondément elle me paraît beaucoup plus que cela. C'est peut-être pour cette raison que j'ai pour elle un attachement, de l'affection.

Elle ornait mon environnement comme un objet orne une pièce, en silence, continuellement, et elle serait comme ce même objet, si perdu, un manque à combler. C'est pour cela que j'essayai d'être gentil, compréhensif, tout ce que je n'étais pas. J'essayai de rejeter ma solitude pour apprécier une compagnie, mais je n'y parvenais pas. Je me mentais à moi-même et je lui mentais à elle, et si c'était le vrai Navis qu'elle voulais voir, en ce moment, elle n'en voyait qu'une ombre. J'avais du mal à endosser encore ce rôle d'hôte, à jouer ce jeu de séduction que je haïssais. Je crois qu'il était temps de redevenir moi-même, d'être à nouveau cet être seul, si bien avec les machines et maladroit avec les hommes, cet être qui me caractérisait grandement. Si elle ne l'acceptait pas, si elle ne m'acceptait pas, elle devrait simplement s'en aller, c'est qu'elle n'était pas celle que je croyais. De toute manière j'étais intimement persuadé qu'elle reviendrait, toujours. Je me levai, et tout en me dirigeant vers l'escalier situé au fond de la salle, je me retournai vers elle, et lui lança.


- « Désolé, je crois que je ne jouerais pas ce rôle longtemps. Je dois travailler sur mes ordinateurs, si tu veux me suivre ... »

J'avais plus l'envie que le devoir de travailler, mais ce verbe aurait peut-être plus d'impact sur elle, et m'excusait un peu plus. J'attendais sa réponse, silencieux, tout en me rapprochant de l'escalier.
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MessageSujet: Re: Soir tranquille - Frédérika - [Suspendu]   Soir tranquille - Frédérika - [Suspendu] EmptyDim 27 Mar - 21:43

[Désolée pour l'attente, entre un bras droit en mode destroy et le fait que je te chope la crève par 20°, ces deux handicapes s'ajoutant au fait que je joue à Survivor actuellement, c'était un peu dur de m'occuper de rp ;;]

Menton posé sur la main et position quelque peu lascive, jambe croisées, Fredrika avait débranché son cerveau. Autour d'elle, des voix de femmes s'élevaient, des rires claires résonnaient, mais elle n'en avait cure et semblait ailleurs. Avec ses vêtements, elle avait plus la modernité exubérante d'Alzen que l'élégance classique d'Amenthalys. Pourtant elle venait de là, bien qu'ayant fait un détour par la cité aérienne pour voir son frère et son père. Elle sentit le regard désapprobateur d'une des femmes piaillant derrière elle, sans doute posé sur le short blanc plus que court qui cachait le strict minimum. De longues mèches blanches s'échappaient de l'épais chignon brouillé et crêpé et les lèvres avaient leur habituel teinte rouge. Blondie opta pour la superbe ignorance, et se tourna légèrement pour laisser son regard glisser distraitement sur la salle.

Pleins de dondons plus ou moins jeunes, désireuses de compagnie. Plus ou moins jolies, aussi. Berk. Infoutues de se trouver quelqu'un. Berk au carré.

Une minute. Elle y était aussi, dans ce club d'hôtes, non? En tout cas, elle n'y venait pas pour les mêmes raisons que les autres, en particulier actuellement. Pour la petite histoire, Siam s'était retrouvé emprisonné à Amenthalys après usage involontaire de son Karneval après l'habituelle dispute entre les deux. Comme celui de Freddie était peu visible, elle n'avait pas été attrapée... Mais en avait usé pour sortir Siam de son trou, non sans faire de "dégats" auprès des gardes. Seul moyen de s'en sortir... Et de fuir les Traqueurs, qui devaient actuellement rager. Alors après avoir usé de son don pour faire taire les témoins, ceux qui avaient vu son visage, elle avait rejoint Karnevale Avenue au plus vite. Que le temps passe.
C'était une vie de merde, ça, tiens.

La salle se vida petit à petit, les gens allant continuer la fête ailleurs ou comater quelque part, et le silence se fit dans la salle. Cerveau déconnecté, Freddie sursauta un peu en s'apercevant qu'il ne restait plus qu'elle et que c'était fermé. Et que Navis lui tendait un verre d'eau avant de s'installer à une table. Sa question la réveilla et elle ricana.


- Nan, ne me compare pas aux autres clientes. J'essaie surtout de te monopoliser pour que tu puisses être tranquille...

Paradoxal au possible, comme formule, mais honnête. Il n'avait pas l'air spécialement content de ce qu'il faisait, autant trouver un moyen d'obtenir la paix pour lui. Freddie lui trouvait une bonne tête et avait fini par penser à cette option. Elle venait ici pour s'amuser, pas vraiment pour chercher de la compagnie comme les autres. Et il l'avait tout de suite interpellé.

- Sors de ton rôle, avec moi. C'est laid, pas assez naturel. Tu peux y mettre un terme en ma présence, je n'en serai pas choquée.

Dans sa façon de s'exprimer, la péroxydée pouvait se montrer assez surréaliste, quoique ce ne fusse pas le pire à cet instant précis. Elle pouvait dévier dans l'absurde comme elle le voulait, pour embrouiller ou donner des réponses sans vraiment les donner. Elle s'apprêta à lui raconter un peu ses dernières misères et le pourquoi du comment de sa venue, mais se retint, préférant être sûre d'avoir la paix pour lui conter sa délicieuse vie. D'habitude elle ne disait rien et restait dans son coin, mais elle estimait que des explications étaient nécessaires, pour cette soirée.
Lui adressant un sourire aimable, elle le suivit, comme d'habitude, à l'étage. Sans répondre. S'installant dans un coin, pour ne pas gêner, elle qui ne parlait d'habitude pas et le regardait faire en silence décida de parler.


- Pour te résumer un peu l'affaire, je suis actuellement entrain de me faire petite après avoir fait sortir une co... Un ami de prison... Sans vraiment avoir l'accord des gardes. Alors je suis un petit peu dans la mouise, là. Tu auras donc le déplaisir de voir un plus ma tronche qu'à l'accoutumée, navrée... Tiens d'ailleurs petite question, pourquoi tu me vires pas de chez toi, à chaque fois?

Parce qu'elle s'était toujours un peu invitée comme ça, sans rien demander, pas même qu'il fasse son devoir d'hôte, elle était curieuse de savoir ça. Elle faisait certes plante verte dans son appartement, mais il n'avait pas tellement l'air à l'aise avec les gens...

[Désolée, c'est caca D8 Tu me dis si tu veux que je rallonge. D8]

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MessageSujet: Re: Soir tranquille - Frédérika - [Suspendu]   Soir tranquille - Frédérika - [Suspendu] EmptyMer 30 Mar - 17:49

//c'est parfait, j'espère que ta santé va mieux. Peu importe la longueur tant que c'est bien écrit et inspirant ^^ //

J'étais monté sans même attendre sa réponse, mais les bruits de pas dans l'escalier m'indiquait qu'elle était toujours là et qu'elle n'avait pas abandonner l'affaire, enfin mieux valait ça qu'elle se mette à bouder dans son coin, même si je ne l'imaginais pas du tout faire ça, cette seule pensée m'arracha un sourire. Non Frederika n'était pas comme les autres, je ne comprenais pas trop pourquoi elle s'était comme ça attachée à moi, elle disait me monopoliser pour que j'ai la paix, mais enfin je ne voyais pas trop l'intérêt mais bon. Malheureusement je devais m'atteler à cette tâche d'hôte, je devais satisfaire des envies que je trouvais ridicules, jouer le jeu de l'homme ouvert et souriant, sans perdre mon coté mystérieux, c'était ce qui attirait les clientes à ce que l'on me disait, répugnant. C'était mon devoir et ce depuis longtemps maintenant. Bien sur elle l'ignorait et voulait peut-être simplement m'accorder un simple moment de répit, gentil de sa part, mais inutile. Enfin, de toute manière je ne pouvais rien y faire. Arrivé dans ma chambre, en laissant la porte ouverte comme une invitation à ce qu'elle entre, je me posai à mon bureau, où les petits morceau de mécanique m'attendait. Je lâchai un soupir, cela faisait un bien fou, se retrouver enfin chez soi et surtout être à nouveau soi-même. Sans que je ne l'entende entrer Frederika s'installa dans un coin de la chambre, simple présence d'abord silencieuse. Je ne la remarquai même plus, elle était invisible et seul comptait mes futurs travaux. J'étais en train de manipuler un ordinateur particulièrement capricieux, et oui même si ces petites choses n'avaient plus aucun secret pour moi, elles restaient indépendante et on ne pouvait pas toujours leur faire faire ce qu'elle n'avait pas envie de faire.

Je réfléchissais à la manière de détourner le problème, mais avant d'avoir le temps d'utiliser mon pouvoir, la voix de Frederika brisa le silence. Elle d'habitude silencieuse, ne lâchant que quelques mots, elle semblait avoir besoin de parler ou plutôt éviter les malentendus. Il était vrai que je lui avais posé une question totalement stupide et inhabituelle de ma part, si quelque chose allait mal, non mais franchement en réalité je n'en avait rien à faire et je ne crois pas que ce fut mon rôle de savoir ce genre de choses. Ici, à Karnevale Avenue, c'était la liberté qui primait, sur tout, dans les relations, la vie, le quotidien, rien à voir avec les rues ennuyantes d'Opale. Si elle était là c'est qu'elle avait quelque chose à cacher, n'importe quoi et peut m'importait. Un karnevale trop dangereux, une vie de dangers, des meurtres, de la souffrance, qu'importe. Ici les secrets régnait et même s'ils avaient tendance à s'échapper de celle qui se laissait trop souvent aller dans la luxure, je ne pensais jamais entendre s'échapper un mystère de la part de la jeune femme. Enfin même si elle gardait le flou. Mais pour résumer elle avait participer à la fuite d'un ami de prison. Et même si cela ne me regardait pas j'étais sur que c'était pour une bonne raison. Bien trop de personnes étaient privées de liberté sans raisons valables dont la seule faute est d'exister. Après tout que cet ami est commis un crime ou non, chacun a droit à la liberté, même éphémère, de la vie.

Sa dernière question m'étonna cependant. Je ne savais pas trop comment y répondre, peut-être parce-qu'aucune réponse ne traduirait vraiment mes impressions, comme d'habitude. De toute manière je crois que j'étais trop gentil pour la virer, cette pensée m'arrachai un sourire. Non mais qu'est-ce que j'en savait moi, elle espérait quoi avec ses questions pièges, que je lui lance un parce-que je t'aime bien au fond, non mais n'importe quoi, et puis de toute manière je pense qu'elle s'en fichait comme la première de ses chemises, surtout qu'elle n'en mettait jamais. De toute manière je détestais ce genre de questions, un peu trop personnelles, et j'allais, tout naturellement éviter sa question trop indiscrète, enfin de mon point de vue. J'avais beaucoup mieux à faire. Finalement je préférais quand elle se taisais, non je n'étais pas un sale machiste, et elle n'était pas inintéressante, c'est juste que je n'aimais pas être comme ça décontenancé par ce genre de questions.

Enfin je l'ignorai, en lui jetant un simple regard, pour lui montrer que j'avais entendu ce qu'elle avait à dire mais que ce n'était finalement mon problème, et si je devais me la coltiner un peu plus que d'habitude et bien c'était comme ça. Je préférais que ce soit elle qu'une autre de ces greluches en manque de je ne sais trop quoi, sexe ou affection. Non Frederika ne venait pas chercher ça, et je ne pouvais pas lui reprocher, bien au contraire. Finalement elle était ce qui me coupait de la monotonie des jours, bien qu'elle m'apportait bien moins que mes petites machines sur lesquelles je m'étais à nouveau concentré. J'utilisai mon pouvoir, sans plus attendre. Je le maitrisai désormais plutôt bien et ma concentration ne m'affaiblissait plus autant qu'avant. J'aimais la sensation qui m'emplissait dans ces moments, le pouvoir que je possédais, sans limites. Les informations qui se mêlaient en moi et celles que transmettaient étaient un délice. Tout allait très vite, des chiffres, des codes, des secrets et des mystères qui n'en était pas pour moi. Je n'avais jamais rien appris, tout c'était imposé seul, une communication comme d'homme à homme, un délice. J'oubliais complètement le monde extérieur et les sensations humaines m'échappaient, je n'étais plus là que pour la machine et la satisfaction qu'elle m'apportait. Et la vie avait beau avoir quelque chose d'attrayant, elle était plus belle vécue ainsi, coupé des souffrances et du malheur, dans un monde qui ne peut vous échapper et dans lequel vous contrôlez tout. Sans exception. Pas de sentiments, pas de sensations, juste une liberté infinie dans un monde dont les frontières peuvent être repoussées à l'extrême. Voilà ce qui m'animait, un élan de vie.

J'avais complètement oublié Frédérika et c'est seulement après avoir coupé cette sorte de connexion, fatigué, que je me rendis à nouveau compte de sa présence dans la pièce. Je compris, à ce moment, encore moins sa question, j'aurais pu lui poser la même, enfin plutôt pourquoi rester ici, seule, alors qu'ils y avaient des hommes bien plus intéressants que moi. Aimait-elle tant la solitude ou c'était le silence qu'elle savourait. Jamais je n'avais connu de femmes telle qu'elle, à vrai dire j'en côtoyait peu de différentes. Pour moi les femmes étaient toutes les mêmes, des êtres de plaisir charnel et sans grand intérêt, sans cervelle il fallait le dire et dont le seul plaisir semblait être celui de nous importuner sans cesse, ou encore d'avoir toute notre affection. C'était pour cela que j'avais cru que Frederika était comme elles, qu'elle me voulait pour elle toute seule, sans distinction. Mais je crois que je me trompais. Elle était toujours là et ne demandais pas plus que de pouvoir m'exhorter de mon travail d'hôte, elle ne voulait rien d'autre que le vrai Navis. Celui que si peu de personnes avaient pu voir.


- « Tu ne me dérange pas Frédérika, je me démène avec mes ordinateurs capricieux et toi tu restes là, assise, en silence. C'est plutôt toi qui doit t'ennuyer, pourquoi tu ne cherches pas quelqu'un de plus bavard que moi. A moins que la technologie t'intéresse … ?  »


J'avais posé cette questions en sachant pertinemment, ou alors j'avais vraiment loupé un épisode, qu'elle me répondrais par la négative. Et là était tout le mystère. Je pouvais bien parler ordinateur pendant des heures, mais en ce qui concernais d'autres sujets c'était totalement différent, et je crois qu'elle s'en était rendue compte.
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