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| Sujet: Noah Worh [Finie] Mer 30 Juin - 14:04 | |
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« Noah Worh » feat. Inconnu identity's card Ce que nul n'est censé ignorer...
Nom ▬ Worh Prénoms ▬ Noah Surnom ▬ Le gourmet. Le Petit Roi. Le Petit Prince. Mais en aucun cas, Petit tout court. Age ▬ 13 ans. Nationalité ▬ Amenthalys. Rang Social ▬ Aristocrate. Sexualité ▬ C’est quoi la sexualité ? Un bonbon ? Métier ▬ Bien que Papa et Maman possèdent un travail qui leurs permettent largement vivre, le Petit Roi tient lui-même un stand de bonbon dans Karnevale Avenue pour préparer son avenir. Son nom est simple et facilement repérable : « La Confiserie du Petit Prince ». Il est décoré de nombreux biscuits ainsi que de sucettes roses en forme de cœurs. Habitations ▬ Ils possèdent une grande maison familiale dans Amenthalys. Les couleurs y sont plutôt chaudes et accueillantes. C’est une sorte de cocon rassurant en fait.
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i got the power... Puissance, armes et pouvoirs.
Karnevale ▬
Noah avait la bouche emplie de dragées ainsi que des miettes collées partout sur ses doigts. Voyant que la caméra l’observait et malgré ses joues gonflés par le trop plein de sucreries dont il s’empiffrait, il demanda tout en postillonnant et en essayant vainement d’articuler. « On doit définir mon Karnevale, c’est ça ? Bien, il suffit simplement de me regarder, je n’en dirais pas plus, je suis quelqu’un de très occupé. » Quoi de mieux que de posséder le pouvoir qui peut faire apparaître presque à volonté ce que l’on désire le plus ? Rejoindre à tout moment le monde dans lequel on se sent le plus à son aise. Tant et si bien que l’on finit par se perdre dans ce cocktail de douceurs multi-chromes qui évoque tant de bonheurs. Le karnevale de Noah peut en effet le conduire au pays des désirs inépuisables des petits enfants et dont il est le premier bénéficiaire. Il a effectivement la possibilité de créer autant de bonbons qu’il le souhaite, et ce, grâce à son écume. Enfin… Il ne peut pas en créer à l’infini car plus il en fait, plus la taille diminue jusqu’à ce qu’il ne reste que les miettes d’un cookie désuet. Il peut, en plus d’en prendre pour sa propre consommation personnel, en offrir aux autres ainsi que se défendre avec ceux-ci. Car oui, qui n’a jamais résisté à l’ultime lancé de bonbons ? Noah est fière de ce pouvoir qui lui a été confié et ne le gaspille aucunement en prenant soin de déguster chacune de ses friandises avec délectation. C’est d’ailleurs par ce pouvoir qui lui est venu l’idée disproportionnée de créer son propre champ de sucettes. Ingénieux, n’est-il pas ? Armes ▬ Le petit prince possède toujours sur lui un poignard que son papa lui a donné au cas où. Malheureusement, il s’amuse un peu trop avec, provoquant parfois des petits désastres qui le font cependant bien rire.
Équipements ▬ Rien de tout ça, un paquet de bonbon, et le monde en devient un conte de fée.
Try to rule the word with... C'est avec ce genre de truc qu'on dirige le monde.
Caractère et Phobies ▬
Noah assit sur une chaise, prit un gros biscuit d’une main. De l’autre, il agrippa son meilleur ami, Kwiki, une peluche en forme de petit ours. Elle est blanche, tachetés de noir et toute douce. Enfin, il déclara avant d’écouter son majordome parler de lui-même. « Je suis gentil, très gentil et avec tout le monde moi. Je n’ai aucun problème, non aucun. Je ne suis pas fou, non, Noah le jure, je ne suis pas fou. » Il me semble que je n’ai jamais rencontré un garçon aussi agréable que Noah. Il est correct, aimable et serviable. Il serait prêt à faire n’importe quoi pour vous faire plaisir, pour que vous lui décrochiez un sourire, ou mieux encore, pour que vous l’appréciiez. Il ne désobéit à presque aucune règle, et se plait à faire ce qu’on lui demande dans la limite du possible. Mais malgré sa naïveté, il est quelqu’un de très intelligent, dont l’esprit reste continuellement frétillant. Paradoxalement, il ne comprend pas pourquoi il est si seul, contrairement aux autres enfants, et pourquoi, je cite : « les autres se moquent-ils tant de lui ». C’est pourtant quelqu’un de très bavard et gourmand, qui aime s’amuser comme la plupart des autres enfants. Il se fait effectivement trop souvent marcher sur les pieds à cause de sa naïveté et de son retardement mental qui lui donnent pourtant l’air si innocent et attachant. Alors que les autres enfants joueront à la balle et que ses parents lui supplieront d’agir un peu plus en adulte, lui préférera boire le thé avec ses meilleurs amis, ses peluches. Après tout, je cite : « Pourquoi jouer à l’adulte ? Ces soi-disant grandes personnes n’ont que des problèmes qui ne sont pas. ». Pourtant, lorsque l’on se fâche, il essayera, plus par peur qu’autre chose, de réaliser ce qui lui est demandé, même à contrecœur et sans pour autant y parvenir complètement. C'est aussi un enfant assez lunatique, non pas qu'il soit insupportable, il pourra vite pleurer alors qu'il rigolait, et inversement. Il ne le fait pas tout le temps, et souvent on ne sait pas pourquoi il subit se changement de comportement. Tout ce passe dans la tête du jeune garçon. Il possède, par ailleurs, une imagination débordante lui permettant d’inventé tout un tas d’histoires toutes plus farfelues les unes que les autres mais cela doit provenir de ses rêves...étranges. Mais derrière son sourire d’ange et charmant, se cache un petit garçon bien fragile et très émotif, peut être même un peu trop. Avec aussi un peu trop de mystères planant autour de lui, sans doute est-ce du principalement à cela s’il a des difficultés à se faire des amis. Se vexant, sans le montrer, à la moindre réflexion contre lui. Même des petits détails peuvent lui poignardez le cœur, comme lorsqu’on lui demande d’aller dans sa chambre car il fait trop de bruit ou qu’il peut encombrer. Il acquiescera mais il aura alors la nécessité de s’isoler pour s’apaiser, mais cela accentue la blessure finalement, car c’est dans ces moments là qu’il se sent plus seul que jamais. Personne pour le réconforter. Personne pour le comprendre. Seul. Comme mort. Ce qui le vexe principalement, c’est lorsqu’on l’insulte, lui ou sa famille et surtout qu’on dise qu’il est fou. Non, pour lui la folie n’existe pas, ou elle est seulement le reflet de l’intelligence. Il est très attentifs aux débats, surtout celles des, je cite encore une fois, « grandes personnes en manque de problèmes », et ce, même quand ca ne lui est pas adressé. Oui, il est assez curieux, et grâce à cela et à sa bonne mémoire, il a une culture générale remarquable. On se demande pourquoi il est plus passionné par ses sucreries que par les mathématiques qui l’ennuient profondément. Lui trouve cela parfait, et étant donné qu'il déteste les choses imparfaites, cela lui conviens. Il vit dans son propre monde à l’apparence cotonneuse et multi-chromes, mais les aspects sont trompeurs. C’est en fait un coin de douleur ou pourrissent les âmes délaissées. Sa plus grande peur, ou du moins, ses plus grandes peurs, car il n’en possède pas qu’une, est premièrement, qu’on ne veuille plus lui parler. L’ignorance est la pire chose qui puisse lui arriver et c’est pourtant ce qu’il ne cesse de subir. Les autres phobies se rapportent à celles des petits enfants, mais en plus prononcé. En effet, il a une crainte total du noir, celle-ci, en effet, lui fait prendre de terrible crises d’angoisses, et ce, malgré les efforts qu’il fait pour se retenir afin d’éviter que son entourage s’en aperçoive. Il lui est d’ailleurs déjà arrivé d’en faire ne serai-ce que lorsqu’il ferme les yeux. Lors de ces moments, ses muscles se tendent, des frissons le prennent dans tous le corps, il ne peut plus bouger, il est en fait tétanisé, le souffle court. Il a par ailleurs quelques hallucinations parfois. Lorsqu’il a peur que quelque chose, ou surtout de quelqu’un, qui arrive dans sa chambre, il fixe la porte d’entrée, et à force de trop y croire, il voit vaguement une personne y pénétrer. Vous pouvez trouvez ça étrange qu’à son âge il ait encore peur de ce genre de choses, mais, je pense que vous l’aurez compris, il est bien plus enfantin qu’il n’est censé l’être. Malgré cela, il saura souvent faire preuve de maturité face à un inconnu, il se montrera gentil voir même confiant. Probablement à la recherche d’une amitié certaine. Je finirais son caractère par une citation de lui-même qu’il m’a, un soir, donné. « Noah arrive pas à dormir encore ce soir. Noah est fatigué pourtant, mais Noah à peur ! Il y a des monstres dans le placard et sous mon lit. Non, ne rigole pas, c’est vrai. Je ne sais pas ce qu’ils veulent, mais j’ai peur. La journée, j’essai de me retenir de le montrer en jouant un double-jeu, mais la nuit, je n’y arrive plus du tout. Puis je me dis qu’il faut que je conserve le silence car certains ont eu moins de chance. Je crois que je suis le seul incompris pourtant, j’ai peur des jours qui passent, je ne veux pas devenir adulte et bête comme vous, ca aussi ca me fais peur. Puis Noah veut pas, non, il ne veut pas de pitié mais pas non plus de méchanceté ! Je veux juste trouver un nouvel ami, que vous ne considérez pas comme : non-vivant, car fabriqué, comme mes peluches ! Je veux seulement quelqu’un qui me prendrai dans ses bras, quand je pleure et que ca ne va pas. » C’est en fait quelqu’un que l’on pourrait retrouver dans les catégorie des : « comme tout le monde », mise à part le fait qu’il ne peut pas cacher ce que les autres cachent au plus profond d’eux, préférant encore se moquer de lui que d’admettre qu’il a raison malgré son air trop enfantin.
You look like... Tâche de ne pas nous faire peur.
Physique ▬
Assis sur son trône, Noah se regardait dans le miroir qui se situait juste en face de lui. Un corps plutôt frêle et pas bien grand apparaissait, on aurait pu croire que ce personnage risquait de s’envoler au moindre coup de vent. Habillé de façon classe, il est obligé de porter des vêtements de riches couturiers lui donnant un air plus imbécile qu’autre chose pour ne pas salir la fausse réputation de ses parents. Eux-mêmes plutôt foncés contrastaient avec la froideur blanchâtre de sa peau. A première vu, on ne peut rien lui envier. Mais même en vivant dans un trou à rat, avec pour seul habit, des feuilles d’arbres. Une personne ou l’autre trouverait quelque chose à jalouser. Mais il se trouve, que malgré sa peau des plus pâles, ses habits qui ne vont pas avec son corps, qu’il dispose d’une beauté rare, une beauté charmante qui feront, quelques années plus tard, beaucoup de prétendants… Pourtant, s’ils savaient ce qui les attendrait mentalement… Enfin, il n’y a pas de soucis à se faire pour ça. Apres tout, nous vivons dans une société ou le jugement ne s’effectue que par le physique.
Ses yeux aussi bleus que le saphir se mirent à loucher très légèrement pour se fixer sur son visage. Ses yeux ? Que dis-je ! Son unique œil plutôt. Souvenir immortel de son karnevale qui était pourtant censé n’apporter que bonheur. Dessous, se situe un tatouage en forme de croix. Sa figure est donc plutôt petite, mais reste proportionnée par rapport à son corps, il pourrait se qualifier de courtois. Un petit nez au dessus d’une bouche comprenant des lèvres bien dessinées tout comme ses sourcils se tenait, l’air sévère. Ses cheveux clairs, mi-longs, tombent en partis devant ces doux yeux sans fond cachant son œil manquant pourtant masqué par un bandeau. Ils descendent jusqu’au milieu de sa nuque.
Sa voix est calme et douce, à part quand il est énervé ou très joyeux et que ca devient un moulin à paroles, il a une façon plutôt lente de parler. Il prend son temps, et donne l’air reposé. Il en va de même pour la douce fragrance qu’il dégage.
Le Petit Prince ne porte pas de bijoux mais de nombreux accessoires comme bien souvent un chapeau assortis à sa tenue très aristocratique. Il possède aussi de nombreuses sortes de foulards qu’il change régulièrement. En ce qui concerne ses signes particulier, mise à part la cicatrice éternel de son œil manquant, il ne possède rien que des égratignures sans grands intérêts.
We are family... Avec 1 milliard individus, quelques millions de possibilités.
Famille ▬
La famille, c’est très important ! Pourtant, la mienne n’est que rarement présente. C’est un manque important pour moi, l’absence de papa et maman, m’oblige à m’occuper moi-même de mes besoins bien que je n’en aie pas l’âge d’après mes voisins. Ils disent avoir de l’argent, alors pourquoi ne pas me racheter des parents qui resteront tout le temps auprès de moi ? Moi ce que je veux, c’est seulement que l’on s’occupe de moi, rien d’autre ! Y a-t-il du mal à ca ? Si oui, j’arrêterai de penser ça, c’est promis ! Je changerai complètement ma façon de penser si ça peut me rapprocher de ceux qui m’ont donné naissance et qui sont d’accord de me payer beaucoup d’heures chez le psychologue alors que je ne fais strictement rien là-bas. Oui, oui, je vous promets ! Non, je ne me mens pas ! Ce n’est pas parce que vous me considérez plus petit que vous que je mens tout le temps ! D’ailleurs, maman m’a dit que ce n’était pas bien de mentir, mais je sais parfaitement que tout le monde le fait. Quand je lui ai dit ça, elle, qui tient tant à moi, m’a dit qu’il ne fallait pas faire comme les autres. Je trouve que cette idée est stupide. Si nous avions été créés pour ne pas faire comme les autres. Nos corps eux-mêmes seraient entièrement différents pour chacun de nous. Oh, je vois sur le prompteur que je m’écarte du sujet ! Oui, donc, je ne possède pas de frères et sœurs, malheureusement, quoique, je ne sais pas s’ils m’auraient accepté tel que je suis. En attendant, je me contenterais du fantôme de Papa et de Maman.
Amicalement ▬
J’ai pleins d’amis ! Oui, oui, je peux même vous les présenter ! Non ? Vous ne voulez pas ? Ah bon. Quoiqu’il en soit, j’ai pleins d’amis. Certains sont des lapins, d’autres des petits ours comme Kwiki. Ils sont tous mignons et polis lorsque l’on prend le thé ensembles ! Mais papa et maman disent qu’ils n’existent pas vraiment parce qu’ils sont nommés comme étant des : peluches. Je trouve cette idée stupide, encore une fois. De toute façon les adultes sont pas bien malins et ne seront jamais mes véritables amis. Je me souviens qu’une fois, j’étais tombé par terre. Alors une adulte ma relevé et ma demandé si j’allais bien, je lui ai dis que oui, puis elle s’est occupé de moi en attendant que mes parents reviennent. Je pensais que c’était mon amie pour ça. Pourtant, lorsque maman est revenu pour me chercher, l’adulte lui a dit « qu’elle ne savait pas élever comme il le fallait ces sales garnements ». J’ai bien compris qu’elle parlait de moi, et je me suis mis à pleurer, du coup, l’adulte à crié encore plus ! Depuis ce jour, je me suis promis de détester et de ne jamais accepter en tant qu’amis les adultes. Voyant que les autres enfants ne veulent pas s’amuser avec moi, j’ai voulu chercher des personnes avec qui jouer. C’est de cette façon que je me suis trouver toutes ses peluches qui m’ont accueillis à bras ouvert, tel que je suis. Bien que leurs moqueries me blessent, je me dis que je peux me réconforter contre tous mes compagnons, qui eux, au moins, ont le droit d’habiter chez moi et de dormir dans mon lit ! Puis quand bien même si un jour je me fais un véritable ami, je suis sûr je que je le considérerais comme un de leurs semblables, cela les rends tellement plus charmants et sympathiques. Oui, ca n’en fait aucun doute.
Amoureusement ▬
Je ne connais pas trop ce mot. Il me semble l’avoir lu dans le livre que la maîtresse m’à forcé de lire quand elle m’a puni, je ne sais pas pourquoi, mais j’étais le seul à avoir obtenu une si grosse punition pour avoir fait un petit dessin sur le tableau. Je crois d’ailleurs qu’il s’appelait ditcttonnaire, euh… dictionnaire. Je n’avais pas trop compris la signification. Je crois que c’est des sentiments. Ah, mais on ne me demande pas la définition ? Bah, je ne suis pas tombé amoureux, jamais. D’ailleurs, qui voudrait de moi ? Enfin, j’imagine que ce n’est pas grave, de toute façon je trouve cette histoire d’amour stupide, cette fois-ci encore. Ca ne sert à rien ! C’est un peu comme foncer dans un mur, s’en rendre compte mais continuer tout de même. Il y a vraiment que les adultes pour faire ce genre de choses ! Moi, quand j’ai une sucrerie à la main, je me sens bien, je n’ai besoin de personne pour y arriver !
Sociabilité en général ▬
En y réfléchissant, je trouve que je ne m’en sors pas trop mal entourés d’inconnus. D’amis ce serait un mensonge de le dire étant donné que je n’en ai pas réellement qui me donne leurs avis sur comment je suis. Ce n’est pas comme si je ne le voulais pas. C’est d’ailleurs pour ça que je me force à avoir de bons sujets de conversations avec des personnes que je ne connais pas. Peut être qu’eux m’accepteront comme je suis. Ce n’est jamais le cas cela dit, mais je continue à m’obstiner comme à mon habitude, à croire qu’une personne dans ce monde me comprendra et voudra bien de moi dans son entourage. Mais je ne me sens que très rarement à l’aise en leurs compagnies, peut être est-ce du au fait que, finalement, au fond de moi, je sais comment cette histoire va finir. Oui, ça doit être ça. L’inquiétude. La peur de décevoir. Puis de toute les façons, je dois de nouveau arriver à me convaincre que tout le monde il est beau, tout les monde il est gentil, dans mon monde.
once upon a time C'est ta vie, on t'écoute.
Biographie ▬
Lors de ma naissance, papa et maman m’ont dis qu’ils ont eu un petit problème avec moi. Je ne voulais apparemment pas sortir du ventre de ma mère, ce qui à présent ne m’étonne guère. Je devais être plutôt à mon aise dans ce cocon rassurant contrairement à cette vie qui me mène sans ressentiment par le bout du nez. Quoiqu’il en soit, les infirmières ont apparemment du se donner beaucoup de mal et finalement, grâce ou plutôt à cause d’elle, nous avons pu compter un habitant de plus dans la région d’Amenthalys. A ce qu’il paraît à ce moment là, j’ai refusé de pleurer pour que mes poumons puissent se développer comme il faut. Même les gifles que les infirmières me donnaient n’y changeaient rien. Je ne voulais pas pleurer. Lorsqu’une ultime tape me fut offerte, je fus envoyé dans un sceau emplis de bonbons que les invités de maman avaient préparés pour elle. Je crois que même encore maintenant je me souviens du goût qu’ils avaient. Je me suis mis à pleurer. Pas par besoin, ni par tristesse, mais par bonheur, pour la première, et probablement la dernière fois de ma vie. Quoiqu’il en soit, revenons-en au sujet le plus important : les sucreries. Je crois que c’était un plat des Dieux qui eux-mêmes, voulaient m’offrir un dernier cadeau avant la tempête que j’allais recevoir de pleins fouet lors des années qui allaient suivre. Mais c’est cela dit, grâce à cela que mon corps est entièrement immunisé contre les méfaits du sucre, ou du moins, presque entièrement. Il m’arrive en effet de temps en temps de faire une petite intoxication lorsque j’en abuse vraiment trop, mais rien de bien important. Il me semble que la date importante à retenir ensuite, c’est lors de mes sept ans. La découverte de mon Karnevale. Ô combien parfait mais Ô combien violent quand on ne sait pas s’en servir. En effet, alors qu’un matin, pendant que mon père s’occupait du jardin et que moi-même je me brossai les dents. Au moment de cracher, je fus surpris d’y découvrir une sucette, alors que je pensais en même temps à celle-ci. Cela devait être mon imagination. Oui, si je pensais à une sucette sans bâton, c’est qu’il m’en restait une. Mais par curiosité, je refis l’essai, m’imaginant une énorme sucette avec un bâton cette fois-ci, pour plus de faciliter à la tenir, juste au cas où. Et c’est effectivement ce qui est sortit de ma bouche. Mais, tout ce qui brille n’est pas or. Sous l’effet de la surprise, j’ai levé ma langue contre la sucette. Grossière erreur. Le bâton se planta d’un coup sec dans mon œil provoquant une douleur infernal. La salle de bain auparavant calme, chaleureuse avec ses couleurs marron et sa lumière tamisé, se transforma en une boucherie des plus infâmes reflétant sur le lavabo, mon propre sang. Du sang !? Non, ce n’est pas possible ! Non, papa m’a dit qu’il ne fallait pas avoir peur du sang car ça n’existait que dans les films. Puis le sang ce n’est pas beau, et c’est mauvais, je m’en serais rendu compte si j’en avais en moi quand même ! Non, ce n’était pas du sang, c’était du sirop de fraise, assurément. Il est vrai que j’en avais bu un peu trop la veille, ce qui expliquerait que ce soit cette mixture qui circule en moi et qui sorte de mon œil à présent disparu. Disparu ? Comment ça, disparu !? Je me penchais sur le lavabo ne voyant que d’un seul globe, et je l’aperçu vaguement, un morceau de mon œil, rouge comme du rubis. Je ne pouvais pas crier, juste vomir, et encore, je n’en avais pas la force. Je n’avais plus la force pour rien en fait. Je m’évanouis. A mon réveil, il n’y avait plus de sirop de fraise sur mon visage, seulement un pansement sous un cache-œil noir qui me faisait penser à celui d’un pirate. J’en étais fière. Mais j’allais devoir apprendre à utiliser le karnevale que je disposais à présent. Ceci qui ne fut pas bien difficile à réaliser. Puis après tout, c’est en me régalant d’un sublime festin que mon œil avait été perdu, je ne pouvais qu’être content de moi, oui ! Cela lui donna d’ailleurs la fabuleuse idée de monter un petit commerce de bonbons sur Karnevale Avenue. Ses parents étant toujours absents cela ne poserait probablement pas de problème. C’est ainsi que fut monté le stand de : « La Confiserie du Petit Prince ». Je savais, à présent, quel était mon rêve : Créer un champ de sucettes. Stupide certains me diront, et bien papa et maman m’ont tous les deux dis qu’il ne fallait pas se moquer de Noah et de ses idées ! Moi, je trouve cela plutôt ingénieux. Peut être même qu’en plus, j’arriverai à me venger de la perte de mon œil et de la cruauté de mon entourage envers moi-même en incitant les autres enfants à commettre le même acte répulsif. Enfin, tout cela ne me ressemblait pas et c’était annexe. A cette période encore, tout n’étais que ballons multicolores, étoiles dans le ciel et monde parfait. « Je veux encore jouer ! » Mais la lassitude commençait à se faire sentir dans ce monde trop parfait et de ne pouvoir se contenter que de cela m’oppressait obstinément. Mais que vouloir de plus ? Je n’en avais aucune idée. Je n’en aurais peut être jamais l’idée. C’est ainsi que je vagabondais dans les rues, regardant des gens regarder d’autres gens avec envie, mais parfois avec dégout. Je m’amusais à analyser n’importe quel passant. Puis bien évidemment, j’avais toujours mes amis, mes vrais. Mes lapins, mes oursons... Oui, heureusement qu’ils étaient là, eux. Toujours prêt à me faire changer les idées. En plus, j’ai du travailler durement avec ma vente de sucreries pour les avoir, car papa et maman ne voulait pas les loger d’eux-mêmes car ils disaient qu’ils étaient inexistants et qu’ils pouvaient devenir mauvais pour santé mental à cause de cela. Ce qui est stupide étant donné que s’ils étaient réellement chimériques, ils ne s’inquiéteraient pas pour moi. En plus, ils me réconfortent la nuit quand il fait tout noir de partout et que j’ai vraiment peur. Ils me protègent des ombres qui se déplacent de partout dans ma chambre. Oui, ils me protègent, eux. « Pourquoi ne pas jouer ensemble, petite marionnette ? » Probablement est-il fou. Inoffensif, surement aussi. Et c’est ainsi qu’il vit en suivant sa doctrine bizarre, dans son monde aux contours flous et emplis de paradoxes. « Tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possible. »
boite à questions Pour mieux déterminer qui tu es vraiment ...
Ce qui te rend unique ▬ Mon caractère. Tes valeurs ▬ Bonbons à gogo et cie. Toujours dans ta poche Quelques petites sucreries au cas ou le mucus se fait rare. Ton rêve le plus fou ▬ Elaborer un champ de sucettes. Ta fierté/Ta honte ▬ Ma fierté, c’est mon Karnevale, mon honte, c’est ma maladie. Tic/manie ▬ Manger un bonbon quand ca ne va pas… Bien que ce soit toujours le cas.
who are you ? Dis-nous quel geek tu es vraiment *w*
Ton prénom/pseudo ▬ Déclaré top-secret par l’Etat 8D. *grille-pain* Ton âge ▬ Désolé, au dessus de trois, je ne sais plus compter. Moyenne de connexion ▬ 9,5/10. Ton niveau de RP ▬ Bon/Excellent. Multicomptes ▬. .. Comment as tu connu le forum ▬ D’un ami IRL, Sven. As-tu bien lu le règlement ? ▬ Ok - Sven Suggestions d'amélioration ou autres ▬ Je crois qu’il y a rien. 8D
last but not least Pour évaluer ton niveau de RP...
Test de RP ▬
- Spoiler:
Je n’étais pas dans le pensionnat depuis longtemps, mais déjà, je m’ennuyais, je ne savais pas quoi faire, je ne connaissais quasiment personne et de même pour les lieux. Il faut dire aussi que l’alcool me manquait, je voyais tout le temps des bouteilles vides mais je ne savais pas vraiment d’où elle provenait. C’est en pensant à tout sauf à quelque chose que j’avançai dans une pièce que je n’avais encore jamais vu, très sombre, sans même m’imaginer que j’allais me prendre le mur en face que je ne voyais pas. Voila qui est fait, je ferais plus attention. Je continuai dans ce couloir qui paraissait ne jamais s’arrêter, puis, au fur et à mesure de mes pas je remarquai qu’une odeur familière emplissait de plus en plus mes narines. Oui, c’était bien de l’alcool, je courrai presque espérant trouver finalement mon seul ami dans cet endroit sordide. Une légère lumière commençait à éclairer la pièce, sans doute une bougie, je n’étai donc pas seul.
J’arrivai au bout du couloir, en effet, un nombre indescriptible de bouteilles se tenaient là, devant moi et à mes pied, une bougie allumé, mais personne autour. Je regardai de partout mais la lumière rendait difficile à mes yeux de s’habituer de l’obscurité. Mais dans un coin, j’aperçu un bref habit, un survêtement, avec étonnement, je constatai que je n’avais pas eu peur, peut être m’étais-je dis que c’était comme dans les films, ça doit être le fantôme de la cave ou une histoire comme ça. Je m’avançai vers le fantôme en question. Il ou plutôt elle, avait de longs cheveux blonds d’après ce que je voyais, et semblait se cacher de moi, bien que je sois à coté d’elle. Je commençai à croire à mon imagination, c'est-à-dire que c’était bel et bien un fantôme. Je lançai donc sans réfléchir, sans doute me croyant dans un film, une phrase, qui ne voulait strictement rien dire.
« N’es pas peur de moi, fantôme ! »
Après un bref silence, je réalisai que je n’aurai peut être pas du dire ça, mais ce qui était fait, était fait. Et pour me faire pardonner, je pris une bouteille au hasard, en remplis les deux verres qui se trouvaient à mes pieds, en offrit un à la personne à coté de moi. Je ne savais pas vraiment comment rattraper ma bêtise. Et bu mon breuvage d’une traite. Ah, cela faisait du bien, depuis le temps (2 heures environ) que je rêvai de trouver de l’alcool. Je me demandai comment notre fantôme, euh, personne était arrivé là, comme ça, essayant de se cacher de n’importe quelle venue. Peut être se cacher t’elle de quelqu’un (d’elle-même ?), ou peut être qu’elle cherchait simplement une bouteille aussi. Oui, je sais ce que vous vous dites, je me fais beaucoup de films. Mais ça a toujours été comme ça, chaque personne que je rencontre, que je croise, j’imagine là ou ils étaient juste avant, et parfois même toute la vie qu’ils ont traversé pour qu’ils arrivent à cet endroit et comment ils vont finir leurs dernières heures. Bizarre ? Eh bien peu importe !
Plus sérieusement, pour une raison que j’ignorai, ce personnage éveillait ma curiosité. Pourtant cela ne me ressemblait pas vraiment de vouloir me mêler des affaires des autres, mais là, ce n’était pas pareil, cette jeune fille aux cheveux blonds n’avait vraiment pas l’air d’aller bien et j’avais envie de l’aider, de l’aider à surmonter ce qui se passait. Je devenais probablement fou, ou peut être avais-je bu trop vite, je ne savais même pas comment elle s’appelait. Je me sentais donc bien bête mais trouvait dommage de laisser une de mes seules rencontres sur une phrase dénué de sens.
« Je me nomme Edric Kell. »
Peut être allait-elle, elle aussi se présenter, je l’espérai, et c’était bien pour la première fois de ma vie et probablement la dernière. Je continuai donc à la fixer, attendant désespérément une réponse, après tout, j’avais tout mon temps, j’étais dans la salle de mes rêves et en plus, j’avais que ça à faire, c’était parfait. Je remarquai aussi, qu’elle était extrêmement pâle et en me penchant j’aperçu très vaguement une marque rougeâtre au niveau de sa gorge, je savais que les fantômes n'existaient pas, pourtant, on aurait presque dit, finalement, un mort-vivant.
| | | Invité
| Sujet: Re: Noah Worh [Finie] Dim 4 Juil - 1:18 | |
| Bonjour et bienvenue ! *PAN* Bon, tu sais déjà ce que je pense de ta fiche que je trouve bien sympathique hein. xD Validé ! ~ |
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