« Eliott de Maleissye »
feat. Edward Elric — FMA.

identity's card
Ce que nul n'est censé ignorer...

i got the power...
Puissance, armes et pouvoirs.


Karnevale ▬ Psychométrie. Oh le beau nom barbare ! Pourtant, son pouvoir est très simple : il peut lire le passé des objets. Oh pas tout le passé, non, jamais. Ça marche par flash et, la plupart du temps, lorsqu’il y a plusieurs flashs, ils sont classés par ordre d’ « importance ». Les souvenirs les plus futiles viennent avant les souvenirs les plus éprouvants. Toutefois, se servir de son pouvoir reste particulièrement fatigant pour lui aussi évite-t-il de laisser libre court à sa curiosité, la plupart du temps.
Armes ▬ /
Équipements ▬ Il trimballe toujours ses outils et son monocle. Pour être paré à réparer des horloges partout.


Try to rule the word with...
C'est avec ce genre de truc qu'on dirige le monde.


Qualités ▬ Eliott fait parti de ses gens que l’on qualifie de minutieux. A la limite de la maniaquerie, il est d’un perfectionnisme exténuant. Évidemment, dit comme cela, on n’a pas franchement l’impression qu’il s’agisse d’une qualité. Sauf que. Sauf que pour lui cette minutie est essentielle : sans elle, c’est tout son gagne pain qui serait compromis. Du reste, il est particulièrement borné et entreprenant, n’hésitant jamais à foncer même au risque de se planter. Pas stupide pour deux sous, il sait se montrer particulièrement débrouillard lorsqu'il se retrouve confronté à une situation nouvelle. Au nombre de ses qualités se comptent aussi une tout particulière gentillesse désintéressée et un calme assez spectaculaire. Jamais un mot plus haut que l’autre, jamais un cri, jamais un tic d’énervement. Non, rien de tout cela : Eliott est encore et toujours concentré, absent, rêveur, absolument et détestablement impassible. Quoi que. Pas solitaire pour deux sous, voir foncièrement sociable, il lui arrive de s’animer lorsque cela concerne les autres. Altruiste lui ? Potentiellement. Mais pas que.
Défauts ▬ En effet, Eliott est une indéfectible commère. Un bruit de couloir ? Un ragot ? C’est pour bibi ! Eliott entend tout, veut tout savoir, tout sur tout, tout sur vous. C’est pathologique, ça le stresse horriblement dès qu’il sent qu’on lui cache quelque chose, une vraie pile électrique. Sous ses dehors d’homme sérieux bien comme il faut, c’est en fait, sans doute, la pire petite peste du quartier – voir de la ville ! – tout ce qu’il entend, tout ce qu’on lui dit finit par ressortir un jour ou un autre sans qu’il ne le fasse nécessairement exprès. C’est juste comme ça : Eliott aime parler. Surtout des autres – exclusivement des autres en fait. Du reste, Lio est une horrible dépensière. Mais vraiment. Pire qu’une bonne femme, jurait régulièrement son père en ouvrant son porte monnaie. Oui ben. Chacun ses défauts. De plus, de part sa maniaquerie, Eliott est et reste tout particulièrement difficile à vivre. Un grain de poussière, un livre déplacé, une horloge légèrement déréglé et c'est la crise de stress assurée. Malgré tout Eliott ne compte pas changer. Comme ça, on est bien avancé.
Phobies ▬ Le désordre.


You look like...
Tâche de ne pas nous faire peur.


Allure générale ▬ Quand on le voit de loin on se dit : « Oh, diable, quel homme banal ! » Carrure fine, plutôt grand, il reste somme toute dans la moyenne. Des hanches fines, des poignets trop maigres, on ne sait pas trop à quoi retenir de lui avant que, curieusement, Eliott ne fasse quelques pas. En effet, à cause d’une malformation de naissance, l’homme possède une démarche claudicante assez étrange à contempler. Un peu dérangeante.
Visage ▬ Des contours fins, une peau pâle. On croirait voir une poupée tant son visage semble éthérée, en demi-teinte, en opacité douteuse. On peut voir sous ses yeux le tracé bleu de ses veines. Un regard blême, oscillant entre le bleu et le gris, des cils fournis pour garnir le tout. On croirait à peine à un homme si sa mâchoire n’arborait pas des angles typiquement mâles. Et si ses lèvres sont trop roses, qu’importe. Il ne s’en soucie guère.
Cheveux ▬ C'est-à-dire que. C’est blond. C’est très blond. C’est même carrément blond platine et Lio trouve ses cheveux franchement insipides. C ‘est sans doute pour cela qu’il s’en occupe si peu, prenant à peine le temps de les natter lorsque ceux-ci retombent anarchiquement sur son visage, le gênant dans son travail.
Style vestimentaire ▬ Il porte des vêtements dans lesquels il se sent à l’aise. Il n’a pas spécialement de genre particulier mais a une forte tendance à éviter ce qui est trop coloré.
Bijou ou Tatouage ▬ Un anneau d’argent serti d’une pierre d’un violet profond qu’il porte à l’auriculaire droit.
Signes particuliers ▬ Une cicatrice au coin des lèvres, trois grains de beauté au creux de l’épaule gauche.


We are family...
Avec 1 milliard individus, quelques millions de possibilités.


Famille ▬ D’abord, nous avons le père Camille de Maleissye, bourgeois ruiné, adorant positivement son fils mais ayant tout autant de mal pour le supporter. Sa belle-mère, Alice de Maleissye (Lovecraft de son nom de jeune fille), quant à elle, semble avoir du mal à cerner son nouveau fils, préférant l’éviter plutôt que d’être confronté trop longtemps à lui. Sa mère, Lola Caldwell (Berring de son nom de jeune fille), quant à elle, semble avoir tout à fait oublié son fils depuis qu’elle s’est remarié avec Lloyd Caldwell avec qui, curieusement, Eliott s’entend particulièrement bien. Du reste, Alice Lovecraft eut des jumeaux d’un précédent mariage – Sèmes et Clyde – avec qui Eliott entretient des relations cordiales.
Amicalement ▬ Eliott est… Désespérément calme. Même avec ses amis. Il aura une forte tendance à les chouchouter, à leur faire des câlins, à les pourrir gâter même si, après, il aura un mal fou à se retenir de ne pas parler de leurs secrets à droite à gauche en toute innocence. Sincèrement, il y tient plus qu’à n’importe qui d’autre. Mais il a du mal à le montrer.
Amoureusement ▬ Amour ? Kézako ? Oui bon. Ça, c’est sa première réaction pour un peu tout et n’importe quoi. Certes. Sauf que l’amour, ça reste très vague. On peut supposer que Lio serait en général bien plus attentif et bien moins commère, bien plus adorable et bien moins maniaque. On peut supposer. Du reste, on ne sait pas trop en fait.
Sociabilité en général ▬ Eliott c’est une bombe de sociabilité. Genre il te tape la discussion à un inconnu dans la rue en moins de deux, il te hèle un gros type baraqué pour lui dire de remonter son futal, il ose. Ouais, vraiment, Eliott c’est le genre de type sociable à l’extrême. Généralement ça agace.


once upon a time
C'est ta vie, on t'écoute.


Biographie ▬
Here’s a lullaby to close your eyes.
L’histoire d’Eliott remonte à la rencontre fortuite entre Camille de Maleissye, descendant pauvre d’une riche famille bourgeoise, et de Lola Berring, femme du monde au train de vie décadent. Ça s’était fait entre deux tables, à la faveur d’une soirée mondaine, des sourires sur les lèvres, des phrases sucrées dans les oreilles. Lola Berring avait toujours été une croqueuse d’hommes fortunés. C’était ainsi, on n’y pouvait rien, et Camille en était bien conscient lorsque, cachés derrière les lourds rideaux de velours, il faisait l’amour à cette femme d’une seule nuit. Ça aurait pu n’avoir aucune conséquence, être juste un souvenir qu’on chérit et qui s’envole. Lola aurait pu ne jamais savoir que l’homme qu’elle aima cette nuit là n’était que particule sans le sous, Camille aurait pu ne jamais se rendre compte de la vénalité de Lola. Cela aurait pu. Sauf que ça ne s’était pas passé comme ça. Doucement, tendrement, le ventre de Lola avait commencé à s’arrondir. Et la réalité avait fouetté son visage pâle. Un enfant allait naître. Elle ne savait pas trop qui, au juste, était le père. Aussi chercha-t-elle le moindre homme qui pourrait l’accepter. Elle leur susurrait à l’oreille les même phrases mielleuses, les mêmes mensonges honteux. Personne n’y crut. Personne à part Camille. Camille était de ses hommes qui voulaient des enfants par-dessus tout et, bien qu’il n’aima pas la jeune femme, il l’accueillit cependant le temps de sa grossesse. L’enfant naquit, la mère partit. Et Camille resta là, Eliott au creux des bras. Bien. Bien. Ils allaient s’en sortir, n’est-ce pas ?

L’enfant avait grandi. Tout doucement, comme de rien. Il avait poussé un peu étrangement, bancal, tremblant. Sa hanche s’était avérée fragile, déviée et l’enfant claudiquait plus qu’il ne courait à l’âge où ses camarades se poursuivaient en riant dans la rue. Ça n’arrangea pas vraiment sa sociabilité, ça ne l’aida pas, vraiment, à se trouver des normes, à savoir ce que c’était, l’amitié, à savoir ce qu’on était censé faire. Son enfance avait filé comme ça, doucement bercé entre les amantes de passages de son père, la scolarité tumultueuse, l’esprit qui se courbait lentement. Ses cheveux trop blonds poussaient avec anarchie et les gens s’éloignaient doucement. Alors Eliott s’était mis à écouter, la tête entre les bras, les yeux à demi-clos. Il s’était mis à les écouter parler, avec attention, alors qu’il se passionnait déjà dans le montage et le démontage de ces minuscules rouages un peu grippés qui composaient la vieille montre à gousset familiale, vestige d’une fortune perdue depuis des années. C’est lorsqu’il toucha l’un de ses rouages qu’il fut soudain saisi de nausée, de maux de ventre, de vertiges. C’était violent, perturbant, dérangeant. Et puis il y avait eu un flash. Des mots. Des voix dans sa tête. L’adolescent avait cru devenir fou, il avait cru perdre pied, perdre les pédales, totalement. Et puis, doucement, le malaise s’était atténué. Et il avait ouvert les yeux. Dans sa tête, se dressait l’homme froid des portraits qui peuplait la maison, le grand-père décédé, l’homme jamais connu. Ses doigts, refermés sur la montre à gousset, tremblaient. Et c’est par la voix de cette homme qu’il l’entendu pour la première fois, et c’est dans ce souvenir, qu’il comprit. Karnevale. Son père lui en avait soufflé quelques mots. Jamais sous ce nom. Jamais comme une réalité. Karnevale.

It was always you that I despised.
Eliott ne raconta jamais à son père quel étrange don on lui avait accordé. Il vivait avec, tranquillement, sans y faire attention. De toute façon, au fil des années, il se rendit bien compte que son père avait besoin de refaire sa vie. C’est donc lui qui le poussa à se rendre à une réception donnée par sa mère et son mari. Grand bien lui fit, Camille revint accompagné d’une femme et de deux morveux de son âge. Des jumeaux, des étranges bestioles. Et s’il se tint éloigné de la mère, il ne se fit pas prier pour fréquenter assidument les deux garçons qui lui apprirent les bases de l’interaction en société. Plus hypocrite, plus préparé, il se remit à fréquenter sa mère, se rapprochant de son époux sans heurts et avec plaisir. L’homme était agréable tant par sa culture que par sa gentillesse et, bien qu’il ne l’ait presque pas vu auparavant, il semblait considérer Eliott comme le fils qu’il n’avait jamais eu. Un fils déjà grand, boiteux, et aux cheveux trop longs, mais un fils quand même. C’est lui, par ailleurs, qui lui trouva une boutique, qui finança la première année chaotique de son petit commerce. Malgré cela, Lio se sentait mal à l’aise, terrifié d’être condamné à rester indéfiniment aux crochets d’un homme qui, malgré son admiration, restait tout de même un inconnu.

Pourtant son commerce fonctionna. Curieusement, étrangement, il finit par avoir des clients réguliers qui, par leur passage, apportait avec eux un flot de paroles et de rumeurs, de secrets et de mots à demi-avoués. Et puis, un jour, une nouvelle tête apparue dans sa boutique, posée là, comme d’un rien. Eliott n’avait rien dit. Il l’avait laissé s’installer là avec un sourire au creux du visage, bercé dans de nouvelles habitudes qui réchauffaient sa solitude. Zane, qu’il s’appelait. Un sourire absent, un air nébuleux. Zane, qui passait du temps avec lui, qui ne parlait pas beaucoup, mais qui était là. Zane. Les yeux de Lio s’étaient mis à s’attacher à sa nuque, à son dos pâle, à ses poignets fins. Zane. Eliott ne comprenait pas. Eliott ne voulait pas comprendre. C’était une simple mélodie tendre murmurée à l’oreille d’un sourd. Et tout sourd qu’il était, Eliott aurait pu aller jusqu’au bout du monde pour le gamin, sans même ouvrir les yeux.

Et ça, ça ne changera pas, quoi qu’il se passe.



boite à questions
Pour mieux déterminer qui tu es vraiment ...


Ce qui te rend unique ▬
Sa capacité inouïe à faire bugger tout objet électronique passant sous sa main ?
Tes valeurs ▬
La ponctualité. Si si.
Toujours dans ta poche
Une montre à gousset, son monocle, un paquet de chewing-gum.
Ton rêve le plus fou ▬
Transformer Zane en vraie plante verte. Ou bien créer la plus grande horloge du monde.
Ta fierté/Ta honte ▬
Autant Lio est fier des montres qu’il répare autant il est mort de honte de ne pas savoir se servir d’un ordinateur.
Tic/manie ▬
Eliott se ronge les ongles et tripote la bague qu’il porte lorsqu’il ment.


who are you ?
Dis-nous quel geek tu es vraiment *w*


Ton prénom/pseudo ▬ Nynh.
Ton âge ▬ Dix-sept ans.
Moyenne de connexion ▬ 5-6/10.
Ton niveau de RP ▬ Moyen/Bon.
Multicomptes ▬ Nope !
Comment as tu connu le forum ▬ Je eh. Sais plus.
As-tu bien lu le règlement ? ▬ OK BY SIAMOUNET
Suggestions d'amélioration ou autres ▬ J’ai rien à diiiiire.



Dernière édition par Eliott de Maleissye le Sam 20 Nov - 22:17, édité 2 fois

Nom ▬ De Maleissye. Prénoms ▬ Eliott, Louis. Surnom ▬ Lio, Lou, Cissy, parfois. Age ▬ 23 ans. Nationalité ▬ Alzen. Rang Social ▬ Petite bourgeoisie plus vraiment très riche. On hérite plus du titre que de la fortune, disons, dans la famille. Sexualité ▬ Inconnue. Métier ▬ Eliott est Horloger. Habitations ▬ /