OUVERTURE DE LA VERSION 2 DU FORUM!
Tout se passe donc désormais ici -> http://karnevale-avenue2.forumactif.org !
(Si vous êtes membre d'ici et que vous n'avez pas encore pensé à votre fiche, etc,
ne vous faites pas de soucis, vous pouvez vous inscrire
et on pourra tout arranger après !)
Sujet: Layla Watson « Devil in me Lun 12 Avr - 20:50
« Layla Watson » feat. Miku Hatsune
identity's card Ce que nul n'est censé ignorer...
Nom ▬ Watson. Elle a apprit dans l'un de ses voyages dans le temps que c'était le nom du célèbre assistant d'un détective privé. Autant dire qu'elle en est plutôt fière. Prénoms ▬ Layla Harmony, mais personne ne connait son deuxième nom. Pourquoi ? Parce qu’elle n’a jamais dit à personne qu’elle en avait un, même quand on le lui demandait. Surnom ▬ Chronos. En fait, elle oblige les gens à l’appeler ainsi. Qui se souvient encore que Chronos fut le dieu du temps ? Et puis Chronos, ça fait classe de toute façon. Age ▬ Dix-huit ans. Nationalité ▬ Amenthalysienne Rang Social ▬ Bourgeoisie. Son père est le directeur de l'un des plus grands musée d'Amenthalys. Sa mère...est partie avec un autre homme. Sexualité ▬ Hétérosexuelle Métier ▬ Elle travaille dans l’un des nombreux musées d’Amenthalys. Et, forcée par son père, en tant que boniche à temps partielle pour Monsieur Andy Jacobsen. « C’est pour bien ce faire voir » que lui répète son père. En attendant, elle fout pas grand-chose là-bas… A part tenter de lui faire vivre un enfer bien sûr. Habitations ▬ Layla vit avec son père dans les limites des quartiers luxueux. « Heureusement que l’on habite dans les quartiers luxueux ma petite Layla. » Son père est ravie en tout cas.
i got the power... Puissance, armes et pouvoirs.
Karnevale ▬ « Ara je suis en retard...Pas grave, j’ai juste à retourner en arrière~ » Quoi de plus simple pour quelqu’un possédant la capacité de contrôler le temps ? Ah Chronos, tu n’as aucune emprise sur cette petite . Elle se joue de toi comme tu te joues des gens. Le fonctionnement de son pouvoir est des plus simples. On se concentre et pouf, nous voilà arrivé au moment où l’on veut. Ou presque. Plus les sauts dans le temps sont brefs, plus il lui est simple d’être précise. Elle maîtrise parfaitement les sauts en arrière de quelques minutes et heures et même des jours. Mais au-delà, cela devient de plus en plus compliqué. Son plus long saut en arrière fut de plusieurs décennies. Elle a ainsi put voir le monde comme il était avant et a quel point l’empereur avait battit son empire sur le mensonge. Layla fit en tout deux voyages de la sorte. Et ce fut les seuls. Elle revient trop épuisée pour en tenter d’autre et il lui faut quelques jours de repos. La vérité, c’est surtout qu’elle n’y arrive plus. Ah, et elle s’est promis de ne jamais touché au passé. Elle n’est là-bas qu’en tant que spectatrice, c’est tout. C’est pour ça qu’elle ne parle jamais de son don…
Il lui arrive parfois, dans ses moments de somnolence de faire des retours en arrière. Et paf, on se retrouve quelques années en arrière. C'est assez gênant, surtout qu'il lui arrive de ne pas s'en rendre compte. Elle peut donc se balader pendant des heures dans la ville pour finir par se rendre compte qu'elle est... quinze ans en arrière.
Il y a une chose qu'elle n'a jamais testée, c'est le voyage dans le futur. Ça la terrifie au plus au point et elle a peur de rater un évènement important. Elle se cramponne donc au passé.
Elle arrive parfois à arrêter le temps ou plutôt le ralentir, mais pour quelques secondes seulement, elle n’est pas assez entraînée.
Armes ▬ Des cailloux, un vase, un pot de fleur, du sable...Bref tout ce qui lui tombe sur la main. Équipements ▬ Un mégaphone, une montre à gousset pour toujours avoir l’heure sur elle et un bloc note pour noter son heure de départ. Layla fait très attention au temps.
Try to rule the word with... C'est avec ce genre de truc qu'on dirige le monde.
Qualités ▬ Layla est très bonne observatrice. Elle a le chic pour remarquer les petits détails du genre le petit panneau au coin de la rue que personne ne voit ou encore une braguette ouverte d’une personne quelconque dans la rue. Elle devine ainsi facilement si une personne est ennuyée, énervée ou en train de mentir. Ce qui est assez pratique. Les gens sont de moins en moins honnêtes de nos jours, n’est-il pas ? C’est aussi une jeune fille discrète, malgré ce que l’on pourrait penser. Layla ne parle presque pas ou fait des phrases très bref, c’est assez rare de la voir sortir un long discours. Ou si elle le fait, celui-ci n’aura ni queue ni tête, incompréhensible du début à la fin. Elle n’a de toute façon, jamais rien à dire. Parler de sa vie, niet. Parler de la vie des autres, encore plus niet. Layla s’en fout royalement et ne supporte pas toutes ses personnes qui ne font que parler de leur vie à longueur de temps et encore moins ceux qui colporte les rumeurs. Y a t’elle jamais cru ? Mais elle doit bien se l’avouer, les écouter est parfois bien distrayant. Layla est également débrouillarde et indépendante. On peut très bien l’abandonner au coin d’une rue sans un sous, ce n’est pas ça qui la découragera.
Défauts ▬ Layla n’est pas quelqu’un de forcément gentil. Elle ne se précipitera pas vers vous si vous vous cassez la figure, elle aurait même tendance à s’éloigner et faire comme si elle n’avait rien vu. Ce n’est pas qu’elle est méchante, plutôt j’m’en-foutiste. Layla est paresseuse. Très paresseuse. Beaucoup trop. Elle peut passer toute une journée à ne rien faire et à se prélasser au soleil sans que cela ne l’ennuie le moins du monde. Au contraire, elle se fait même une joie de ne rien faire. C’est tellement reposant. Et sa paresse...Elle se manifeste partout. Si Layla est aussi calme, c’est bien par paresse de s’énerver. Hausser le ton, réprimander les autres... C’est tellement ennuyant. Du coup, elle a tendance à tout remettre au lendemain. « Pourquoi faire quelque chose que l’on peut faire demain ? » Pas vrai ? C’est une tête de mule. Une fille bornée et têtue. Jamais vous ne la verrez changer d'avis et ce même si elle sait pertinemment qu'elle a tort. Elle a une certaine fierté et une logique assez étrange, de ce fait, changer d'avis est pour elle une atteinte à sa fierté. Tout comme donner raison à une personne qu'elle n'apprécie pas. Quoi de plus humiliant d'avouer ses tords face à une personne qui se fera une joie de vous le rappeler jour après jour ? Que cette même personne vous démontre par A+B que vous avez faux sans avoir d'argument pour répliquer peut-être. Oui, Layla est parfois à court d'argument pertinent. Les siens sont pour la plupart illogique et dénué de sens, de quoi mettre son interlocuteur mal à l'aise, en profitant alors pour s’éclipser ni vu ni connu. La maladresse fait partie des choses caractérisant le mieux Layla. Et le fait qu’elle soit tête en l’air n’arrange rien. Il lui serait tout à fait possible de s’asseoir à côté de sa chaise ou de se prendre un poteau, et parfois même un mur. Se faire des croches pattes est monnaie courante chez elle, tout comme rater une marche, glisser et trébucher sans raison apparente. On peut facilement dire qu’elle a deux pieds gauches. Et cette maladresse, Layla la déteste. Comment peut-on prendre au sérieux quelqu’un qui n’est même pas capable de marcher sans tomber ? C’est peut-être pour cela qu’elle reste toujours assise, étant ainsi sûre de ne pas tomber une nouvelle fois.
Aime ▬
▬ 1; Sorbet au citron ▬ 2; L'histoire ▬ 3; Les livres ▬ 4; Son mégaphone ▬ 5; Le musée
Déteste ▬ Décris cinq choses que ton personnage déteste, par ordre de préférence.
▬ 1; L'empereur ▬ 2; L'action ▬ 3; La solitude ▬ 4; Les gens trop riche ▬ 5; L’argent
Phobies ▬ Rester coincé à une époque qui n'est pas la sienne. Ne plus pouvoir revenir là où elle a envie.
You look like... Tâche de ne pas nous faire peur.
Allure générale ▬ Layla n'a pas le corps des top modèles posant pour les plus reconnu des magazines, celles toute en finesse, trop en finesse. Son corps n'est pas fin, grand, élancé, maigre il est juste tout ce qu'il y a de plus normal. Avec son un mètre soixante et un, il est vrai qu'elle ne se démarque pas beaucoup des autres avec sa taille. De petites jambes menues, suffisamment musclées pour supporter le poids de son corps, qui n'est pas très élevés -proportionnel à sa taille. Tout à fait banale donc. Mais elle dégage une aura étrange avec son regard toujours dans le vide et sa moue toujours figée.
Visage ▬ Un visage enfantin, sans pour autant avoir gardé les rondeurs de son enfance, voilà comment caractériser sa bouille. Elle possède maintenant un visage agréable, le menton légèrement anguleux aux traits fins. Sa peau semble parfaite, mais elle n'échappe pas à la dure réalité. Et oui, Layla est en pleine période de puberté et, même si elle n'a aucun bouton, sa peau n'est pas aussi douce que ce qu'elle désirerait. Elle l'est quand même un peu, et le sera encore plus quand sa puberté aura disparut. Une peau laiteuse, pâle. Comme une poupée de porcelaine dira-t-on. Une poupée de porcelaine capable de rougir plus que ce qu'elle voudrait. Une simple remarque, que ce soit un compliment ou un reproche, arrive à la faire rougir jusqu'aux bouts de ses oreilles. C'est incontrôlable. Son regard terne et las, observe et analyse chaque personne, chaque détail. Simple passe temps. Son regard est aussi troublant que la couleur de ses yeux. Un mélange de bleu, vert et dorée. C’est étrange et indéfinissable.
Cheveux ▬ Oui, Layla n'est pas sublime. Juste différente. Mais c'est cela qui fait tout son charme n'est ce pas? Ou peut-être que non. Après tout, pour lui trouver du charme, il faut d'abord apprécier les longues crinières bleuté, coiffé en deux longues couettes. Il n'est pas facile de voir autre chose au premier abord. Sa tignasse étant assez volumineuse. La question que les gens se posent souvent est de savoir où peut arriver ses cheveux une fois détaché. Déjà que coiffé, il lui arrive aux bas des fesses. Il est certain qu’elle marcherait dessus si elle ne se les attachait pas. Quand à savoir pourquoi elle ne se les coupe pas, c’est une très bonne question. Elle décore ses cheveux de divers accessoires. Ruban, fleur, dentelle tout y passe.
Style vestimentaire ▬ Tout et n’importe quoi. Cela résume bien la garde robe de miss Layla. Des robes, des shorts, des jupes, des pantalons pourquoi se priver ? Pourtant elle doit bien se l’avouer, elle préfère largement les robes et jupes aux restes. C’est peut-être son éducation qui veut ça. Mais Layla fait tout de même tout pour ne pas trop ressembler à une poupée en porcelaine. Elle évite donc les robes à dentelle et à froufrou. De tout façon, sa tenue fétiche reste une sorte d’uniforme bicolore bleu et noir.
Bijou ou Tatouage ▬ Un bague en argent à son auriculaire droit. Un héritage de sa mère avant qu’elle ne parte. Elle a beau détester sa mère…Elle ne s’est toujours pas résolut à l’enlever.
Signes particuliers ▬ Mise à part ses cheveux bleu…absolument rien.
We are family... Avec 1 milliard individus, quelques millions de possibilités.
Famille ▬ Monsieur John Watson : Avare. C’est bien le mot oui. Malgré son imminente richesse, il avait toujours l’impression d’être au bord de la faillite, de ne plus avoir un sous. Il n’a donc jamais gâté ni sa femme et encore moins sa fille. Ce fut même le contraire. John envoyait Layla faire divers petits boulots pour ramener de l’argent et tenter de bien se faire voir. Dernièrement, il l’a envoyé chez Monsieur Andy Jacobsen. Comme vous pouvez vous en douter, Layla n’entretient pas de bonne relation avec lui, elle fait même tout pour l’ignorer. Mary Hudson (Anciennement Mary Watson) : Capricieuse. Jamais contente et qui voulait toujours plus. On se demande comment elle et John se sont mariés. Ce fut la grande question que se posa Layla toute sa jeunesse. Layla entretenait de bonne relation avec sa mère. Enfin, elle n’était pas pire que celle avec John. Il n’y avait pas de très grande complicité entre elles mais elles se supportaient. Tout à changé quand Layla la découvrit dans les bras d’un autre homme et qu’elle partie quelques jours plus tard avec lui. Ce n’est pas réellement le fait que sa mère ait quitté son père qui la met hors d’elle, mais plutôt le fait qu’elle ne l’ai pas prise avec elle. Layla n’a plus jamais revu sa mère après ça.
Amicalement ▬ Elle se comporte avec ses amis comme tout le monde devrait se comporter. Bavarde, souriante, toujours aussi flemmarde , on pourrait presque ne pas la reconnaitre.
Amoureusement ▬ N’ayant jamais été vraiment amoureuse, Layla ne sait pas trop. Peut-être bégayera-t-elle ? Ou alors elle rougira fortement, se sentira gênée et s’enfuira en courant parce qu’elle n’aurait pas compris la nature de ses sentiments. Ou bien sera-t-elle simplement plus sympathique… Qui vivra verra.
Sociabilité en général ▬Layla n’est pas particulièrement sympathique avec les inconnus, elle n’est pas détestable non plus. Il faudra surtout être bien accroché pour réussir à faire parler Layla sans que ce ne soit pour vous envoyez voir ailleurs parce qu’elle a envie de ne rien faire aujourd’hui. Mais si vous avez la chance de tomber sur un beau jour, elle sera peut-être agréable.
once upon a time C'est ta vie, on t'écoute.
Biographie La vie de Layla n’a jamais été des plus passionnante de son point de vue. Ce n’est qu’un enchaînement d’événement plus ou moins heureux. Rien d’intéressant. Mais puisqu’il faut vous la raconter, je le ferais.
Il est clair que si Layla avait put choisir sa famille, elle n’aurait jamais choisit celle là. Son père n’était qu’un abrutit de première qui était persuadé que l’argent était un bien plus important que sa propre famille. Il n’a jamais jeté ne serait-ce qu’un seul regard aimant à sa fille. Il voyait en elle qu’une source de problème et de trop grande dépense. Malgré son appartenance aux rangs de la Bourgeoisie, elle avait l’impression de n’être qu’une simple paysanne qui peinait à survire. Seule la demeure familiale la ramenait à la réalité. C’était le petit bijou de papa. Et comme celui-ci n’avait pratiquement aucun domestique –c’est trop cher voyez vous- ce fut Layla qui dû s’occuper du ménage en grande partie. Et sa mère ne s’y opposait pas. Elle était trop absorbé à se disputer avec son mari pour qu’elle puisse encore s’acheter des robes, des bijoux et autre parure.
Ce n’est donc pas étonnant que Layla vit un jour sa mère dans les bras d’un autre. Oui, Layla ne lui en voulut pas. Pas tout de suite. Non, ce fut seulement au moment où sa mère franchit le portail pour rejoindre son amant qu’elle lui en voulut. Sa mère partait, elle s’en allait, sans elle. Et ce fut un coup dur. Mary ne lui laissa qu’une bague, une simple bague en argent. Mais c’est grâce à son départ que Layla découvrit son Karnevale. Elle était exténuée après l’éprouvante journée qu’elle venait de passer mais surtout, elle était triste. C’est donc tout naturellement que Layla se laissa tomber dans son lit pour se laisser bercer par ses larmes. Mais quelle fut sa surprise quand Layla se réveilla et qu’elle s’aperçut qu’elle venait de faire un saut dans le temps.
En effet, Layla se faisait face. Elle faisait face à son berceau avec un joli petit bambin à l’intérieur, elle bien entendu. Et aussi rapidement qu’elle était partie, Layla revient dans le présent. D’abord abasourdi puis complètement perdue. Ah oui, la pauvre jeune fille n’y comprenait rien. Peut-être avait-elle rêvée ? Mais tout paraissait tellement vrai… Pendant un temps, Layla se força de ne plus y penser mais la curiosité prit finalement le pas. Alors un soir, la jeune fille retenta l’expérience. Elle se concentra et en deux secondes, Layla se retrouva au milieu du chantier de son manoir. Après cela, elle continua de s’entraîner tous les soirs, pour savoir jusqu’où elle pouvait aller.
Et c’est dans l’un de ses entraînement que la demoiselle se retrouva propulsé en 2007. Layla resta pantoise pendant un moment. Ainsi donc il y avait un monde avant Sphera ? Première nouvelle. L’empereur avait donc mentit sur toute la ligne. A quelle désillusion. Le peu de sympathie qu’elle éprouvait à l’égard de l’Empereur disparut d’un coup. Et elle ne pouvait même pas en parler… Personne ne la croirait. Alors Layla garda tout pour elle. Et n’en parla à personne. Et il en fut de même pour son pouvoir, tout le monde pense que la jeune bourgeoise n’a pas de Karnevale.
Layla ne parla donc de rien à personne, pas même son père. Celui-ci serait bien le dernier à qui elle en parlerait. Surtout depuis qu’il l’a envoyé chez Môssieur Andy Jacobsen. Pour ce faire bien voir qu’il dit… Au début elle voyait pas trop comment on pouvait bien se faire voir quand on travaille comme boniche. Mais quand son père à déclarer à des collègues que sa très chère fille travaillait « avec » Monsieur Jacobsen, Layla compris rapidement. Mais elle doit avouer bien s’amuser là-bas. Déjà parce qu’elle passe le plus clair de son temps à dormir et que le reste elle le passe à ouvrir la porte à des gens à qui elle ne devrait pas ouvrir ainsi que casser divers objets. C’est une façon de se venger…
boite à questions Pour mieux déterminer qui tu es vraiment ...
Ce qui te rend unique ▬ Personne n'est unique. Nous sommes tous des êtres humains. Tes valeurs ▬ Le respect, la tolérance. Toujours dans ta poche Ma montre à gousset. Ton rêve le plus fou ▬ Renverser l'empereur et faire connaître la vérité à propos de Sphera. Ta fierté/Ta honte ▬ Connaître un monde que personne ne connait / Ne pas avoir le courage d'en parler. Tic/manie ▬ Se faire craquer l'épaule, comme ça, sans raison. Se faire passer les ongles sur sa lèvre quand elle réfléchit.
who are you ? Dis-nous quel geek tu es vraiment *w*
Ton prénom/pseudo ▬ Orange (; Ton âge ▬ 18 ans~ Moyenne de connexion ▬ Une note 10/10. Ton niveau de RP ▬ Débutant moyen. Multicomptes ▬ Nop, aucun Comment as tu connu le forum ▬ Grâce à une commande sur YC : D As-tu bien lu le règlement ? ▬ [OK 8D] Suggestions d'amélioration ou autres ▬ Tout est bon à prendre !
last but not least Pour évaluer ton niveau de RP...
Test de RP ▬
Spoiler:
[justify]
Elle pensait encore à lui.
Caché dans un renforcement, elle attendait de pouvoir poser les bombes dans la salle des moteurs. Elle ne devait pas se faire repérer car sinon, elle serait dans l’obligation de les tuer, et ça ne l’enchantait guère. Abby avait beau être froide et distante, prendre la vie de quelqu’un avait toujours été dur pour elle. Elle ne pouvait s’empêcher de penser à toutes ces familles qu’elle briserait par son acte. Les femmes qui deviendraient veuves, les enfants qui perdraient leurs père et les parents qui pleuraient la perte de leurs enfants partit avant eux. C’était dur. Mais la vie était ainsi. On ne l’avait pas épargner, alors elle n’épargnera personne. Cruelle oui, puisque les gens n’y sont pour rien dans le malheur d’Abby. Jalouse aussi de voir que les gens avaient encore quelques choses à laquelle il tenait.
Après tout, que restait-il à Abby ? Elle avait perdu sa mère et puis Neal. Il lui restait son pouvoir et son ordinateur certes. Mais ils ne lui offraient aucun amour, aucun réconfort rien. Elle se sentait seule, rejetée, inutile. L’inutilité. Un sentiment qui la suivait depuis des années déjà. Qu’elle n’arrivait pas à se débarrasser. Inutile, pitoyable, le genre de boulet que personne n’avait envie de traîner. C’est ainsi que se percevait Abby, encore. Elle avait tenté de changer, mais le départ de Neal prouvait bien qu’elle ne pourrait jamais changé, malgré tous les efforts qu’elle pourrait fournir. C’était déprimant. Vraiment, mais que pouvait-elle faire après tout ? Son inutilité était collé à elle comme son ombre.
Abby avait l’habitude maintenant. Espérons juste qu’elle ne soit pas trop inutile pour cette mission. Il n’y avait pas que sa vie en jeu mais aussi celle de Yumi et de tous les hackers. Abby n’avait pas le droit à l’erreur. Elle n’avait jamais le droit à l’erreur puisque qu’une seule petite erreur pouvait détruire tout le réseau des hackers. La pression était dure, et elle se la mettait seule. Après tout, personne ne le lui avait dit, elle déduisait ça seule. Mais il valait parfois mieux se mettre la pression pour faire plus attention et ne pas faire d’erreur. C’est comme ça qu’Abby fonctionnait. Et on pouvait aisément dire que cela fonctionnait pour le moment. Aucune erreur n’avait été commise et le plan se déroulait à merveille. De son côté, personne n’était mort et personne ne l’avait vu. Il fallait continuer comme ça.
Puis, les lumières s’éteignirent pour se rallumer quelques secondes après. Le signal. Yumi avait réussi à atteindre la salle des commandes. S’enfonçant un peu plus dans le renforcement, elle observa les mécaniciens défiler devant ses yeux et quitter la salle des moteurs pour aller on ne sait trop où. La voie était libre, il ne lui restait qu’à poser les bombes et rejoindre Yumi. La tâche s’annonçait simple. Entrant discrètement dans la salle des moteurs, Abby ne se doutait pas un seul instant qu’une personne était encore ici mais quand la balle vint se ficher dans son épaule, il n’y eut plus aucun doute. Avant même que le soldat puisse l’abattre, Abby se jeta derrière la première machine. C’était maintenant au plus rapide. La jeune fille attrapa une bouteille d’eau dans son sac et l’ouvrit d’un geste sourd. Elle n’aura plus qu’à utiliser l’eau comme une corde pour faire tomber l’homme, ainsi, avant même qu’il puisse se relever, la jeune hackeuse lui aurait sauté dessus pour lui trancher la gorge.
Ce n’était pas très élégant, mais avait-elle le choix ? Tuer ou être tué. Le choix était tout fait. Elle émit une grimace de douleur quand elle voulut bouger son épaule, tche il l’avait pas loupé. Elle allait lui faire payer ça. Ainsi donc, tout se déroula comme elle l’avait prévu. L’épaule en sang, Abby alla récupérer son sac et sortit les différents explosifs qu’elle plaça un peu partout dans la salle. Quand il n’y avait personne pour la déranger, le travail était véritablement simple. Quoi de plus enfantin que de poser des explosifs après tout? Enfin, ça n’avait rien de compliqué si personne ne lui barrait la route. Quoique ce genre de gens finissait rapidement la gorge tranché. Ba, il l’avait mérité pas vrai ? Après tout, venait-elle gêner le travail des gens ? Ah non, ne répondez pas, nous savons aussi bien vous et moi que c’est ce qu’elle fait. Et elle dérange le travail des gens sans aucune gêne. N’allez pas croire que c’est personnel, oh non. La seule et unique personne qu’Abby désirait vraiment déranger était ce bon vieux Neal. La jeune fille n’avait pas digéré son abandon. Quoi de plus terrible que de se faire abandonner par la personne que l’on aime, surtout quand celle-ci part sans rien dire et sans assumer ses actes. Un acte blessant. Elle pensait que Neal pouvait lui faire confiance, qu’il pouvait se confier à elle. Triste déception quand on remarque que ce n’est pas le cas.
Assise au milieu de la pièce, les larmes glissant le long des joues, elle mit du temps avant de réaliser ce qu’il se passait. Amour, tristesse, désespoir, abandon. Y avait-il quelqu’un dans ce monde capable de l’aider à s’en sortir ? C’était la grande question. Séchant ses larmes d’un revers de main, s’activant pour récupérer ses affaires, Abby sortit un bout de papier et inscrivit rapidement « La rébellion vaincra » Tout laissait à croire que s’était la rébellion le cerveau de ce carnage. Ba, même sans ça, qui pourrait imaginer que les Hackers allaient sur le terrain. Personne. Ou alors, il fallait être sérieusement arriéré. Heureusement que ce genre de gens ne courraient pas les rues. Bref, Abby lâcha négligemment le papier sur le corps du soldat et se dirigea vers une trappe.
C’est maintenant que ça devenait intéressant. Elle allait rejoindre Yumi pour assassiner l’autre guignol, le dignitaire impérial. Abby avait conscience que cette partie de la mission serait la plus dure et surtout la plus dangereuse. Des personnes allaient encore y laisser la vie, et ce ne serait sûrement pas elle. L’épaule bandée comme elle avait put, la demoiselle se faufila par la trappe pour se retrouver dans le conduit d’aération. Abby devait maintenant rejoindre Yumi au point de rendez-vous et terminer la mission. Glissant avec habileté dans le conduit, ne s’arrêtant que rarement pour reposer son épaule endoloris, elle arriva rapidement à l’endroit convenu. Haha, elle était allée plus vite que ce qu’elle avait prévue, surtout avec une épaule dans cet état. Rha, il l’avait pas loupé l’enflure. Ceci dit, elle non plus ne l’avait pas raté. Ba, il l’avait cherché.
Au moment où elle s’apprêtait à descendre du conduit, son écouteur cracha les paroles de Yumi et étrangement, celle-ci avait l’air d’avoir un drôle d’écho. Abby jeta un oeil à travers la trappe et aperçu la chevelure insolite de Yumi. Heureusement que tout le monde n’avait pas la même couleur de tignasse. Au lieu de répondre par le micro, la hackeuse enleva la plaque et se laisse glisser à l’extérieur.
- Ba, j’ai fini de poser les explosifs. J’suis pas sotte à c’point là.
Elle avait marmonné la dernière phrase, non pas pour que Yumi ne l’entende pas –elle s’en fichait un peu...-mais plutôt parce qu’Abby se parlait à elle même. Quand on vit seule dans un carton, faut bien s’occuper hein. Enfin, ça s’était l’excuse. Après tout, elle passait plus de temps en cours et à la taverne pour chanter que dans son joli petit carton. Mais ça reste une excuse comme une autre, et personne n’était assez proche d’Abby pour démentir ça. L’utilité d’être seule au monde. Personne pour nous embêter, personne pour nous contredire mais aussi personne pour nous réconforter, personne pour parler et personne pour se confier. La solitude avait son lot de désavantage.
- Donc maintenant... on tue tout le monde ? Pas de témoin c’est ça ?
Question oratoire qui n’attendait aucun réponse, Abby avait bien compris la mission. Elle sortit donc une autre bouteille d’eau et une petite dague. L’eau pour les noyer et la dague pour leur trancher la gorge. Elle rangea la dague dans un endroit plus accessible et ouvrit la bouteille. De là où elles étaient, les deux jeunes femmes pouvaient entendre les cris des hommes paniqués par tout ce raffut et le bruit de leurs pas se rapprochant.
-Que la fête commence~
Je ne perdrais pas.
Fondateur
♦ Inscription le : 30/01/2010 ♦ Mes messages : 993 ♦ Etoiles ★ : 562
Sujet: Re: Layla Watson « Devil in me Dim 18 Avr - 15:06
Je me permet de te valider xD J'adore je n'ai rien à dire
Layla Watson « Devil in me
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum