Nom ▬ Caroll Prénoms ▬ Floran Lisbett Surnom ▬ Oh, on lui donne souvent de sympathiques sobriquets tel que « malade mentale », « dérangée du ciboulot » ou tout simplement « folle à lier » . Âge ▬ 25 ans tout rond. Lieu de naissance ▬ Alzen. Rang Social ▬ C’est une paria, une inutile. On pourrait la qualifier de clocharde mais son statue de Traqueuse fait taire les murmures et autres commérages. Sexualité ▬ Elle n’y a jamais vraiment réfléchie mais la gente masculine lui parait certes plus alléchante que son contraire. Particularités Physiques ▬ Et bien à part ses yeux d’un rouge flamboyant qui vire souvent au bleu notamment lorsqu'elle use de son Don, on pourrait la qualifier de « normal ». Métier ▬ Principalement Traqueuse mais aussi Informatrice à ses heures perdues. Habitation ▬ Un peu partout et nulle part. Elle est nomade, ne se pose jamais, continue d’avancer sans avoir de réel but, à part se divertir. Comme Floran à des relations dans chaque villes de ce pays, elle n‘a jamais de mal à trouver un endroit où dormir (Que la personne soit d‘accord ou non)

I GOT THE POWER

Karnevale ▬
Empathie.
Floran est capable de transmettre des émotions à une ou plusieurs personnes. Compassion, peine, amour, colère… Tout y passe. Une véritable bombe psychique. Elle peut également ressentir les sentiments des autres et à la mauvaise manie d‘en profiter. La jeune fille maitrise plutôt bien ce don qu’elle affectionne particulièrement. Oh, n’allez pas croire qu’elle est invincible, loin de là ! Recourir à son Empathie lui donne souvent des maux de tête horrible et si elle force trop, elle sera dans l'incapacité de l'utiliser pendant une durée indéterminée. Elle est encore loin de la perfection, il lui arrive que son Karneval déraille. Ses émotions sont misent au grand jour et nom plus celles des autres. Mais elle se plait tout de même à l’utiliser et tente avec peine de supprimer cette horripilant retour des choses par maintes et maintes entrainement. Étrange pour une traqueuse d‘aimer son Karneval, n’est-ce pas? Il faut dire que celui-ci l’a souvent sortie de problèmes dans lesquels elle s’était empêtrée alors autant l’apprécier.


Armes ▬ Floran n'appréçit pas vraiment les armes. Mais, prudences oblige, elle garde constamment deux lames accrochés à ses poignets au cas où.
Équipements ▬ Rien de particulier à part une sacoche remplie de divers papiers, calepins, crayons et fiole vide.

TRY TO RULE THE WORLD WITH...

Caractère ▬
Chaos dans sa tête, dans son esprit, dans sa vie. Elle n’est que désordre, ironie. Elle se nourrit de vos problèmes, de vos maux et de vos peur. Elle est torturée. D’une façon subtile, implicite. Poursuivis par l’ennuie, emprisonnée et bâillonner. Elle s’amuse à vous faire tourner en bourrique, elle s’extasie à mentir, se complait à manipuler. Pourtant, elle est douce, tendre. Mais son cœur mou est protéger par une carapace forgé au cours du temps. Elle est vil tout de même, n’hésite pas à vous marcher dessus si elle peut en obtenir quelque chose. On la considère également comme malsaine. Elle est parfois effrayante avec ses drôles de mimiques, sa paranoïa exaspérée et son agaçant cynisme. Elle est souvent hypocrite mais droite et loyale à une cause ou à un ami. Elle se sacrifierais sans même y réfléchir pour un camarade tandis qu’elle cracherais sur un inconnue. Floran a une morale, contrairement à ce que l’on pourrais croire. Mais elle est déglinguée, folle, sans réelles règles. Au fil des années, elle a finit par développer des crise d’angoisse et de violence qui se manifeste par vagues de temps à autre. Elle peut improviser sur le moment mais préfère calculer à l’avance. Elle a un amour innée pour les humains, adore les regarder s’entretuer, se hurler dessus pour des choses sans importance. Elle les aiment car il la divertisse, la change de son ennuie habituelle qui flotte doucement en elle. Floran n’est pas pudique, elle donnerais son corps sans un regret pour des informations. En parlant de renseignement, Floran a un gros problème: la curiosité. C’est une véritable maladie chez elle, elle veut tout savoir, tout connaitre. Le moindre de vos petits secrets, de vos cachoteries. Elle ferait n’importe quoi pour assouvir cette pulsion. C’est devenue une véritable drogue et elle n’est pas prête de se désintoxiquer.
Phobies ▬
Floran est Autophobiaque. Elle a peur de la solitude voir de se retrouver avec elle-même. Elle a donc peur d‘accepter ses problèmes, de voir ce qu‘elle est devenue. Sa plus grande phobie est d‘oublier. Elle est prise de panique rien que d‘y penser. Elle a peur de devenir sénile et de ne plus pouvoir résonner. En gros, elle flippe à l‘idée de devenir totalement folle.

ONCE UPON A TIME

Biographie ▬
L’histoire de Floran débuta à Alzen. Qui la préparait, me dirait-vous, à un tel futur avec un début si banale? Une telle question restera toujours sans réponse. Pour tout vous dire, les premiers instants de son existence furent semblable au vôtre. Pourtant, la suite vira brusquement de bord. La mère de notre adorable folle dingue, mourut lors de son accouchement. Floran affirma plus tard que, je cite: Elle n’était pas assez forte, noble et tout ce que vous voulez pour portait une si grande personne en elle. Et elle en succomba. Son pauvre père, accablé de douleur, grisé de chagrin, se suicida pour rejoindre sa femme. Stupide comme raisonnement, je vous l’accorde.

Floran fut confiée à un orphelinat. Elle y grandit sereinement jusqu’au jour où elle s’enfuit. Une question subsiste. Pourquoi? Oui, pourquoi?

Pourquoi fut-elle obliger de voler pour subsister? Pourquoi ce marchand la remarqua en train de lui piquer une de ces pommes? Tant de questions sans réponses et pourtant si évidente.

Le destin.

Elle n’avait pas beaucoup de chance, la petite Floran à cette époque, il faut l’avouer. Elle était lente et peu sûr d’elle. Elle commençait tout juste à découvrir ce sadisme inné et le repoussait encore, l’exécrait pour le moment. Alors, lorsque cet idiot de marchand la surpris à chiper de la nourriture, elle retint un glapissement, détala la queue entre les jambes et la pomme dans la main. L’homme, fou de rage, la poursuivit en la martelant d’insultes comme si leurs poids pouvait la ralentir. Enfin, elle se retrouva bloqué dans un cul-de-sac. Le dos contre le mur comme si elle pouvait se scinder avec lui, elle lui lança tout ce qu’elle pouvait trouver. La bouche hideuse lâcha des mots qui résonnent encore dans la tête de Floran mais qui la font rire désormais.

-Tu sait ce que l’on fait au voleur? On leur coupe la main !

Sur ses mots d’une profondeur étonnement inexistante, il la roua de coups. N’en pouvant plus, elle haleta des excuses, bafouilla des sanglots. Le marchand, ignorant ses paroles, s’apprêta à lui assener un nouveau coup de poing lorsqu’il se stoppa la main en suspens.

J’ai peur.

Sa main se détendit, Floran pleurait pitoyablement de douleur à ses pieds, ne réalisant pas ce qu’il se passait au dessus d‘elle. Elle avait le corps secouait de tremblements et une douleur lancinante lui tiraillait le dos.

J’ai peur, terriblement peur. Si peur que je veux m’enfuir en hurlant. Je veux partir d’ici.

Le visage de l’homme se crispa en une grimace horrifiée. Cette fois-ci, la jeune fille, réalisant que les coups ne venaient plus, releva la tête vers le marchand, craignant tout de même qu’il ne fasse qu’une simple pause. Le bras de celui-ci tomba mollement sur sa cuisse.

PEUR.

Brusquement, il s’enfuit en hurlant d’effrois, comme poursuivit par un monstre invisible. L’albinos se releva péniblement, troublé. Elle sentait un drôle de frisson s’éveillait au bout de ses doigts, submerger la douleur. Un sentiment de victoire et d’apaisement l’envahie. Elle savait maintenant. C’était elle qui l’avait fait fuir. Elle avait entendu parler de ses drôles de Dons au coin d’une rue. Il pensait que c’était une malédiction, elle était convaincue que c’était un cadeau. Ce pouvoir, elle le chérie, elle le modela à sa guise, en définie les limites. Au cours de diverses expériences, elle devina son nom. Empathie. Cela lui plus et elle ne se rendait même pas compte qu’elle s’était laissé aller à son véritable caractère, ne le repoussant plus comme avant. Elle délaissait son implacable peur pour laisser place à une curiosité déplacée, un sadisme poussé. Après avoir testé son Don un peu n’importe comment, elle en conclut qu’elle avait besoin d’une personne pour la guider. Elle attendit patiemment de grandir, usant de son Karneval et de sa traitrise naturelle pour berner les autres. Et le jour où elle se sentit prête, elle quitta Alzen.

Le chemin fut long et périlleux. Elle se perdit mainte de fois, délirant, assoiffé jusqu’à enfin arriver au Marécage grâce à une chance insolente qu’elle remercia plus d‘une fois. Un endroit si crasseux lui apparut comme le paradis et elle arpenta les rues, les yeux brillant de curiosité. La première chose qu’elle fit fut de convaincre un imbécile influençable de lui donner sa gourde. Séduit par ses belles paroles, il la lui confia et elle la vida d’une traite. Une petite victoire sur la vie qu’elle savourât allégrement. Elle eut presque envie de hurler sur tout les toits qu’elle continuait d’exister, que même le périple pour arriver jusqu’ici ne l’avait pas achever. Désaltérée, elle fit un rapide repérage des lieux. Tout ce qu’elle voyait lui apparut comme une source d’amusement, un coin sinistre à explorer, des gens à faire tourner en bourrique… Enfin du sport ! Elle commençait à en avoir assez de se parler à elle-même. Elle finirait par en devenir folle -si elle ne l’était pas déjà-.
Brusquement, son regard s’arrêta sur un homme. Grand, borgne, avec une allure grotesque de pirate et un embonpoint avouant son train de vie aisé. Il semblait assez dupe et fixait avec fierté les autres passants. Elle sautillait jusqu’à lui, fessant virevolté sa jupette troué recouverte de poussière. Elle s’arrêta pile devant l‘homme, droite comme un piquet, un sourire enfantin sur les lèvres.

-Vous désirez, fillette?

Elle pouffa. L’homme avait étrangement une petite voix niaise, contrastant avec son physique de grand gaillard. Haussant ses sourcils broussailleux, il continua:

-Ce n’est pas une ville pour une si jeune enfant !

Il fit un geste consciemment exagéré, désignant la dite cité d’un air vaguement amusée. Se penchant un peu, les mains derrières le dos, Floran ronronna d’une voix mi-mielleuse mi-pincée.

-Je suis bien plus mature que mon apparence laisse le croire, Monsieur. Ce que je cherche? Un endroit où loger. Les nuits sont dangereuse par ici… N’est-ce pas?

Étonné par l’assurance qui se dégageait de la petite voix fluette de l’enfant, le Pirate se décida après quelques secondes à la conduire chez une voyante de renommer, détrousseuse maligne et bandit insoupçonnable. Gaïa était son nom. Une grande femme, assez volumineuse, le regard sombre et les cheveux ébène, luisant sous la douce lumière de sa cabane outrageusement décoré. Cette femme plut tout de suite à Floran, y devinant une quelconque allié, rivalisant d’hypocrisie et de tour malsain. Devant la jeune fillette albinos, la curiosité de la voyante pas si extralucide que ça se trouva bien vite piqué. C’est ainsi que Floran fut adoptée, pas officiellement mais toute deux savait très bien le lien les unissant désormais. Gaïa avait eu la malchance de naitre stérile. Elle coïncidera très vite Floran comme sa propre fille. L’Argenté elle aussi, développa une affection implicite à cette grosse femme ingénue, débordant d’astuce et de malice. Gaïa se lia de confiance avec elle, et petit à petit, devint son professeur. Elle était dur mais juste, ses cours captivants mais dangereux. Floran en ressortait toujours couverte de blessures mais un sourire ravie aux lèvres, riche de nouvelles délicieuses magouilles. La bonne femme lui détailla l’art de l’hypocrisie, la subtilité du mensonge, la propreté du meurtre… Elle développa son esprit mais aussi son physique et son réseau de connaissance. Devint athlétique et connu mais restant toujours dans l’ombre tel qu’on lui avait appris. Enfin, lorsque ses 17 ans arrivèrent, Floran avait dépassé le maitre. Fière comme pas deux, Gaïa voyait tout de même sa santé se détériorer. Le jour où elle succomba à la maladie, la jeune albinos se décida à quitter les marécages pour rejoindre Amenthalys. Ce jour-là, la douleur de cette perte fut si vive que plusieurs personnes au alentour de Floran se mirent à pleurer, ressentant sans que celle-ci n’y soit pour quelque chose, la douleur et la peine de l’albinos. Surmontant cette épreuve et en ressortant plus forte, elle se donna un but. Ayant développait un esprit de rébellion et devenue un tantinet anarchiste, Floran avait rejoint un groupe d’opposant au Roi et voulait voir et vivre diverses expériences afin d’être apte à combattre. Pour accentuer ses connaissances, la capitale était donc le lieu le plus approprié, vu qu’il abritait le palais royale.

Ainsi, après un voyage bien moins dangereux que le premier, Floran débarqua dans la grande ville à la recherche de nouveauté. Pour mieux se repérer, elle décida tout d’abord d’aller flâner dans un bars, l’argent d’un imbécile heureux qu’elle avait piller plus tôt en poche. Elle pénétra dans la taverne avec méfiance, s’installa sur un des tabourets et s’accouda au bars, respirant avec dégout la fumée et les relents d’alcool. Le barman, un petit homme trapus, lui aboya un Bonjour et demanda si elle désirait quelque chose. Elle n’eut pas le temps de répondre qu’un homme, apparemment soul, puant la boisson s’écroula sur son épaule. Elle eut un petit mouvement de recul, le retenant tout de même. Flairant la bonne affaire, elle installa consciencieusement l’ivrogne sur un tabouret, lorgnant tout de même avec inquiétude ses oscillations qui menaçaient de le faire tomber à tout moment. Elle espérait pouvoir lui tirer quelques informations. Elle en appris bien plus.

Cet homme était un traqueur. Homme du Roi, comme il lui expliqua. Floran n’eut pas à beaucoup insister pour qu’il lui parle de son métier et encore moins à utiliser son Don. Il déballa tout, s’arrêtant parfois pour reprendre sa respiration. Pour le rendre encore plus docile, la jeune fille lui offrit à boire. Les mots glissèrent mollement de sa bouche, se marquant au fer rouge dans l’esprit de la fille, suintant, frétillante comme un poisson fraichement péché. Enfin, lorsqu’il fut trop soul pour continuer à parler, elle l’abandonna non sans avoir pris le nom d’un de ses supérieurs, une idée en tête et son éternel sourire aux lèvres.

Le lendemain, elle se mit en quête de cet homme. Elle n’eut pas trop de peine à le retrouver et, jouant de ses charmes, usant de son Karneval, elle le convînt de lui faire passer le test des Traqueurs malgré son jeune âge. Pour tout vous dire, elle fut même étonné de la facilité avec laquelle il accepta. Après coup, elle y réfléchis. Elle n'était pas connu, agissait toujours tout bas et n'avait jamais fait de grabuge susceptible de la faire pourchasser. Cela n'était pas si incroyable finalement. Et puis, Floran était vraiment une bonne actrice. Ainsi, elle s’exposa encore à de nombreux dangers, riant de bon cœur devant la mort, la pointant du doigt avec dédain. Elle le réussit haut la main. En même temps, elle avait vécu presque toute sa vie dans un des endroits les plus dangereux du pays, ça n’avait rien d’étonnant. Floran devint une traqueuse de bas rang, pour ne pas attirer l’attention. Rester dans l’ombre lui convient mieux.

Aujourd'hui‘hui, elle a 25 ans. Cela fait des années et des années qu’elle mime de chasser les Rebels et ceux qui détiennent un Karneval même si parfois elle est bien obliger de commettre des horreurs pour être crédible. Elle est devenue une informatrice discrète, toujours au rendez-vous et sur qui on peut conter pour avoir les derniers plus croustillants ragots. Elle se complait de sa situation même si le trou béant qui lui transperce le cœur la lance encore de temps à autre. Elle cherche encore ce qui pourra le remplir et supprimer ce vicieux ennuie. Mais elle ne peux que l’espérer doucement, le murmurer. Après tout, elle est en réalité une sale petite traitre. Une Rebel, une inutile.

Que peut-elle faire d’autre à part foutre le bordel?

WHO ARE YOU ?

Ton prénom/pseudo ▬ Cyn’ :3
Ton âge ▬ 15 ans et des bananes…
Moyenne de connexion ▬ Pendant les cours: 3/7 voir plus. Pendant les vacances: Quasiment tout les jours (non, je ne suis pas une geek, NON.)
Ton niveau de RP ▬ Alors là POUH. Aucune idée ‘-’
Multicomptes ▬ No no no ~
Comment as tu connu le forum ▬ Par un partenariat.
As-tu bien lu le règlement ? ▬

Spoiler:

Quel est le personnage sur ton avatar ? ▬ Izayoi Sakuya de TOUHOU
Autres ▬ Rien d 'autre à part: OMG, votre fo' roxx de la banane ! D8 *bave sur l'Event en cours*